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Critique de bdelhausse
Autant se l'avouer, quand mon aîné a emprunté cette BD à notre bibliothèque de quartier, il s'attendait à un refus de ma part et à un contenu un peu plus "scabreux" que ce que la BD offre. Mais les auteurs arrivent en fait à produire une BD tout à fait correcte, imaginative, accrocheuse, qui se lit aisément et sans vulgarité.
On est dans l'univers fantastique, les candidats à l'Imagischool doivent passer une batterie de tests pour voir s'ils sont éligibles. Lucas est rejeté lors de la première épreuve, mais s'invite quand les candidats retenus sont scannés pour voir si leur rêve peut être matérialisé... Et (un peu comme dans Ghostbusters où le personnage pense au bibendum Michelin) le rêve de Lucas prend forme... C'est Super Caca, dont un des pouvoirs est ... de sentir la fraise. Quand on vous disait que ce n'était pas scabreux...
Par rapport à d'autres émanations de rêve très "physiques", Super Caca cherche toujours la solution la plus pratique, le truc, le système d'qui dépanne et auquel personne ne pense. Au lieu d'y aller franco, Super Caca prend souvent le temps d'analyser le problème et le résoud en 2 coups de cuiller à pot. C'est frais, vif, plaisant.
On a les codes des mangas en couleur, mais ce qui m'a gêné c'est l'absence de "traits noirs" dans le dessin. Difficile d'expliquer cela, mais on n'a pas une claire démarcation dans les couleurs, dans les formes. Je m'empêtre... Mais si j'ai été dérouté au départ, cette impression s'estompe rapidement et l'ensemble s'avale rapidement. Cette rapidité est un aspect aussi négatif: la BD manque un peu de contenu, de profondeur. Mais je lirai la suite des aventures de Super Caca avec plaisir.
On est dans l'univers fantastique, les candidats à l'Imagischool doivent passer une batterie de tests pour voir s'ils sont éligibles. Lucas est rejeté lors de la première épreuve, mais s'invite quand les candidats retenus sont scannés pour voir si leur rêve peut être matérialisé... Et (un peu comme dans Ghostbusters où le personnage pense au bibendum Michelin) le rêve de Lucas prend forme... C'est Super Caca, dont un des pouvoirs est ... de sentir la fraise. Quand on vous disait que ce n'était pas scabreux...
Par rapport à d'autres émanations de rêve très "physiques", Super Caca cherche toujours la solution la plus pratique, le truc, le système d'qui dépanne et auquel personne ne pense. Au lieu d'y aller franco, Super Caca prend souvent le temps d'analyser le problème et le résoud en 2 coups de cuiller à pot. C'est frais, vif, plaisant.
On a les codes des mangas en couleur, mais ce qui m'a gêné c'est l'absence de "traits noirs" dans le dessin. Difficile d'expliquer cela, mais on n'a pas une claire démarcation dans les couleurs, dans les formes. Je m'empêtre... Mais si j'ai été dérouté au départ, cette impression s'estompe rapidement et l'ensemble s'avale rapidement. Cette rapidité est un aspect aussi négatif: la BD manque un peu de contenu, de profondeur. Mais je lirai la suite des aventures de Super Caca avec plaisir.
