Des nouvelles non policières mais on retrouve la patte de
Simenon, son don pour installer dès les premiers mots une atmosphère, ce qui turlupine l'esprit, ce qui bascule d'un coup, les faiblesses, les espoirs, les illusions.
Quand on connaît ses photos de voyage des années 1920-1930, on s'y installe encore plus vite.
On est happé dès les premières lignes et il nous entraîne où il veut.
Ecriture, atmosphère, peinture de vies à priori banales ou pauvres. Tout l'ar de
Simenon est là.
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