Quelle déception que cet échiquier du mal. le roman est excessivement long ; il aurait fallu l'amputer de 300 pages aisément. Une fois le cadre posé, le Talent expliqué, le roman ne consiste qu'en une succession quasi ininterrompue de courses poursuites et de crimes macabres. Ici, les méchants sont vraiment très méchants et les gentils vraiment très gentils. Les échecs finissent par passer au second plan, le final étant pour moi ridicule avec ce projet de contrôle des nations. J'ai pourtant beaucoup aimé le cycle d'Hypérion et le duo
Ilium/
Olympos, mais là Simmons m'a déçu.
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