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Critique de titiseb77
Comme beaucoup de monde, je connaissais principalement Anne Sinclair en tant que journaliste et surtout présentatrice de 7 sur 7. C'est donc une découverte pour moi de lire un de ses livres.
Dans La rafle des notables, Anne Sinclair revient sur un pan de l'histoire de ses aïeux, l'arrestation de son grand-père pendant la seconde guerre mondiale, en effet, celui-ci est juif mais surtout il est notable et se croit donc à l'abri du nazisme. un jour de décembre 1941, deux policiers français et deux policiers allemands viennent frapper à la porte de l'appartement qu'occupent les grands-parents d'Anne Sinclair, son grand-père Léonce est embarqué et sera fait prisonnier dans un camp de Compiègne avec 750 autres juifs notables et 300 juifs étrangers (il fallait un quota de 1000 personnes). L'enfer va commencer et se poursuive plusieurs mois (froid, famine, maladie, manque d'hygiène...), ces hommes vont être traités comme des objets et aucune compassion ne viendra de leurs bourreaux, seuls quelques bonnes âmes (des prisonniers un peu mieux lotis dans d'autres bâtiments), vont leur permettre de vivre un peu mieux, mais si peu.
Ce récit très court, m'a permis d'en apprendre un peu plus, mais rien d'extraordinaire n'a été dévoilé et en dehors d'apprendre que les juifs les mieux lotis n'ont pas été faits prisonniers en même temps que d'autres, je n'ai pas appris grand chose.
Dans La rafle des notables, Anne Sinclair revient sur un pan de l'histoire de ses aïeux, l'arrestation de son grand-père pendant la seconde guerre mondiale, en effet, celui-ci est juif mais surtout il est notable et se croit donc à l'abri du nazisme. un jour de décembre 1941, deux policiers français et deux policiers allemands viennent frapper à la porte de l'appartement qu'occupent les grands-parents d'Anne Sinclair, son grand-père Léonce est embarqué et sera fait prisonnier dans un camp de Compiègne avec 750 autres juifs notables et 300 juifs étrangers (il fallait un quota de 1000 personnes). L'enfer va commencer et se poursuive plusieurs mois (froid, famine, maladie, manque d'hygiène...), ces hommes vont être traités comme des objets et aucune compassion ne viendra de leurs bourreaux, seuls quelques bonnes âmes (des prisonniers un peu mieux lotis dans d'autres bâtiments), vont leur permettre de vivre un peu mieux, mais si peu.
Ce récit très court, m'a permis d'en apprendre un peu plus, mais rien d'extraordinaire n'a été dévoilé et en dehors d'apprendre que les juifs les mieux lotis n'ont pas été faits prisonniers en même temps que d'autres, je n'ai pas appris grand chose.
