AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Hardiviller


Il faut une sacrée dose de désespoir et de courage pour s'immoler par le feu quand on a 21 ans et la vie devant soi . le suicide de Palach fut suivi de deux autres ( moins médiatisés ) ceux de Jan Zajic et de Evzen Plocek . 20 ans après , soudain les réactions s'accélèrent : Vaclav Havel , futur président de la république tchèque , tente de déposer une gerbe de fleurs en la mémoire de Jan Palach . La police politique l'arrête et il est condamné avec d'autres opposants à la dictature rouge . La poudre prenant feu , la dictature peu à peu va s'écrouler . Les trois immolés n'ont pas agi en vain .
C'est tout cela que relate ce livre sur un ton non misérabiliste mais qui remue nos sentiments de colère face aux dictatures fussent elles faussement nommées du prolétariat . A l'heure ou les partis d'extrême droite progressent un peu partout et ou des droites dures prennent les rennes de la gouvernance , faudra-t-il en arriver là pour qu'une prise de conscience fasse revenir les pouvoirs à des politiques plus humaines ?
Espérons que non !
Commenter  J’apprécie          180



Ont apprécié cette critique (18)voir plus




{* *}