Pendant la guerre, Marie ; cinq ans est confiée par sa mère à de vieilles tantes qui habitent une maison entourée d'un grand parc. Elle va y passer une année à se poser beaucoup de questions auxquelles ne répond guère son entourage.
Mais devenue adulte, cette maison qu'elle appelait «
la maison-guerre » est toujours présente à son esprit.
C'est un livre poignant. Cette petite fille est très émouvante, et malgré la gentillesse de toutes les personne âgées qui occupent la maison, elle est bien seule sans sa maman.
Marie Sizun a l'art de donner une âme aux maisons et de l'authenticité à ses personnages.
Marie est tellement triste que sa maman ne revienne pas, n'écrive pas.
Une maman si tendre, si fantasque, comme dans beaucoup de romans de
Marie Sizun.
Mais son père revient de camp de prisonnier.
« Le retour du père » ?
Beaucoup de thèmes récurrents dans l'oeuvre de l'auteur, mais à chaque fois une nouvelle histoire originale , pleine de sensibilité qu'on a du mal à lâcher et à oublier.
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