>
Critique de Aelynah
Imaginons, juste comme ça, deux personnages de sexe opposé avec des caractères de m… hum dotés de fortes personnalités !
Rajoutons leur un peu de passif pas sympa sympa.
Pour pimenter ça on prend une mignonnette de 6 ans, elle aussi qui sait ce qu'elle veut.
Ensuite on va les placer dans un contexte super facile … une équipe de foot, pleine de testostérone et de mâles plutôt bien gaulés et hélas souvent un peu trop imbus d'eux mêmes pour voir midi à leur porte.
Vous l'avez le scénario catastrophe ?
Vous comprendrez alors que le titre Ondes de choc n'est pas juste pour faire beau. Car vu les phénomènes ça va dépoter.
Alexandra Sutton vient de perdre son père Robert Sutton III. Outre le fait qu'elle devienne alors immensément riche du fait de l'héritage, un petit addendum surprise va la rendre aussi propriétaire d'une équipe de foot.
Pour elle qui n'y connaît rien c'est presque ironique.
Luke Pearson est le quaterback de l'équipe des Loups. Mais aussi un ami de Robert Sutton. Apprendre que la fille de ce dernier, dont il a une mauvaise image du fait de son peu d'attention pour l'homme qu'il appréciait, hérite de l'équipe le sidère.
Ces deux là sont de vrais contraires. Leur première rencontre et impression vont les pousser à envisager le pire de l'autre. Et sans même savoir alors qui ils sont.
Beaucoup de petits clichés dans ce roman auquel on s'attend. Mais bizarrement la plume de l'auteure les rend agréables.
Elle a su utiliser les bons ingrédients pour une romance. Ces fameux petits clichés, les scènes tendues, les quiproquos qui font sourire le lecteur ou les rebondissements qui amènent l'histoire à un tournant où le protagoniste peut encore tout changer, en bien, comme en mal.
J'y ai trouvé tout cela. Et puis aussi des personnages simples, sensibles, blessés en eux qui gardent la tête haute et le coeur sous verrou.
Alors oui c'est une lecture facile et légère mais c'est aussi des phrases bien senties contre les préjugés, des moments forts qui mettent en avant la beauté intérieure des gens.
En appuyant sur la laideur des propos de certains, paparazzi comme adversaires l'auteure permet à ses personnages de briller plus fort et d'émettre cette lumière qui les rend vrais et attachants.
Merci Laure Valentin trad. pour cette découverte. Il m'a manqué plus de scènes sportives pour en faire une lecture 5*. Cependant les commentaires en bas de page pour expliciter ce sport ont été bienvenus lorsqu'il était mis en avant. La tension aurait ainsi été plus forte
Rajoutons leur un peu de passif pas sympa sympa.
Pour pimenter ça on prend une mignonnette de 6 ans, elle aussi qui sait ce qu'elle veut.
Ensuite on va les placer dans un contexte super facile … une équipe de foot, pleine de testostérone et de mâles plutôt bien gaulés et hélas souvent un peu trop imbus d'eux mêmes pour voir midi à leur porte.
Vous l'avez le scénario catastrophe ?
Vous comprendrez alors que le titre Ondes de choc n'est pas juste pour faire beau. Car vu les phénomènes ça va dépoter.
Alexandra Sutton vient de perdre son père Robert Sutton III. Outre le fait qu'elle devienne alors immensément riche du fait de l'héritage, un petit addendum surprise va la rendre aussi propriétaire d'une équipe de foot.
Pour elle qui n'y connaît rien c'est presque ironique.
Luke Pearson est le quaterback de l'équipe des Loups. Mais aussi un ami de Robert Sutton. Apprendre que la fille de ce dernier, dont il a une mauvaise image du fait de son peu d'attention pour l'homme qu'il appréciait, hérite de l'équipe le sidère.
Ces deux là sont de vrais contraires. Leur première rencontre et impression vont les pousser à envisager le pire de l'autre. Et sans même savoir alors qui ils sont.
Beaucoup de petits clichés dans ce roman auquel on s'attend. Mais bizarrement la plume de l'auteure les rend agréables.
Elle a su utiliser les bons ingrédients pour une romance. Ces fameux petits clichés, les scènes tendues, les quiproquos qui font sourire le lecteur ou les rebondissements qui amènent l'histoire à un tournant où le protagoniste peut encore tout changer, en bien, comme en mal.
J'y ai trouvé tout cela. Et puis aussi des personnages simples, sensibles, blessés en eux qui gardent la tête haute et le coeur sous verrou.
Alors oui c'est une lecture facile et légère mais c'est aussi des phrases bien senties contre les préjugés, des moments forts qui mettent en avant la beauté intérieure des gens.
En appuyant sur la laideur des propos de certains, paparazzi comme adversaires l'auteure permet à ses personnages de briller plus fort et d'émettre cette lumière qui les rend vrais et attachants.
Merci Laure Valentin trad. pour cette découverte. Il m'a manqué plus de scènes sportives pour en faire une lecture 5*. Cependant les commentaires en bas de page pour expliciter ce sport ont été bienvenus lorsqu'il était mis en avant. La tension aurait ainsi été plus forte
