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Critique de LoupAlunettes
La 1ère de couverture nous interpelle et c'est l'oeil collé dessus que nous repérons ce qui ne nous avait pas frapper en diagonal.
Les personnes ont trois yeux, deux têtes, ce ne sont pas de braves créatures des bois amatrices d'insectes ou de noisettes.
Et ce que l'on aurait pu prendre pour une drôle de bestiole dans les bras du héros n'est en fait qu'un chat ordinaire et le héros n'est pas un petit garçon ordinaire, juste là, lui témoignant de la tendresse.
Quentin, c'est lui et il est techniquement un monstre.
Une Question, du coup, est posée: un monstre peut-il être gentil?
( nous, lecteurs le savons bien, le Shrek de William Steig ou le petit ogre de Marie-Agnès Gaudrat nous démontrent qu'être monstre n'est pas une nature dans le sens où on l'entend).
Dans ce genre d'histoire, les monstres gentils sont contrariants pour l'entourage, à rompre avec les clichés et les traditions.
Les auteurs Laurent et Olivier Souillé l'imaginent ce Quentin gentil à outrance, histoire d'appuyer là où ça fait ouille.
L'album revient sur les inquiétudes des parents qui n'ont pas le sentiment d'avoir bien fait.
Alors, qu'est-ce qui n'allait pas chez leur petit?
Les illustrations de Clothilde Goubely sont un délice de rondeurs et de trognes mignonnes, même avec des crocs et du poil sec dessus.
Cela va être le défilé de professeur pour remettre Quentin sur le chemin biscornu et nous en reconnaissons certains, c'est dire si leur réputation les a précédé.
Vous connaissiez la recette d'enfants accommodés au sel et à la Béchamel?
Nous nous amuserons des situations et aussi, hélas pour les parents, de la bonne humeur communicative qui empoisonne les monstres comme infiltrés par un virus.
Quentin va inspirer la peur...
Brrr...
Un décalage amusant qui louera finalement sa bonne nature et devrait ravir les jeunes lecteurs, les vrais gentils sont terribles, méfiez-vous...
Les personnes ont trois yeux, deux têtes, ce ne sont pas de braves créatures des bois amatrices d'insectes ou de noisettes.
Et ce que l'on aurait pu prendre pour une drôle de bestiole dans les bras du héros n'est en fait qu'un chat ordinaire et le héros n'est pas un petit garçon ordinaire, juste là, lui témoignant de la tendresse.
Quentin, c'est lui et il est techniquement un monstre.
Une Question, du coup, est posée: un monstre peut-il être gentil?
( nous, lecteurs le savons bien, le Shrek de William Steig ou le petit ogre de Marie-Agnès Gaudrat nous démontrent qu'être monstre n'est pas une nature dans le sens où on l'entend).
Dans ce genre d'histoire, les monstres gentils sont contrariants pour l'entourage, à rompre avec les clichés et les traditions.
Les auteurs Laurent et Olivier Souillé l'imaginent ce Quentin gentil à outrance, histoire d'appuyer là où ça fait ouille.
L'album revient sur les inquiétudes des parents qui n'ont pas le sentiment d'avoir bien fait.
Alors, qu'est-ce qui n'allait pas chez leur petit?
Les illustrations de Clothilde Goubely sont un délice de rondeurs et de trognes mignonnes, même avec des crocs et du poil sec dessus.
Cela va être le défilé de professeur pour remettre Quentin sur le chemin biscornu et nous en reconnaissons certains, c'est dire si leur réputation les a précédé.
Vous connaissiez la recette d'enfants accommodés au sel et à la Béchamel?
Nous nous amuserons des situations et aussi, hélas pour les parents, de la bonne humeur communicative qui empoisonne les monstres comme infiltrés par un virus.
Quentin va inspirer la peur...
Brrr...
Un décalage amusant qui louera finalement sa bonne nature et devrait ravir les jeunes lecteurs, les vrais gentils sont terribles, méfiez-vous...
