Parce que c’est ça l’histoire que tu mérites, Sunshine, rien de moins.
Maintenant, moi aussi, j’ai la drôle impression que je finirai par embrasser Quinn. Un jour. Peut-être.
Il y a des batailles qu’il ne sert à rien de mener, simplement car on sait qu’elles sont perdues d’avance.
«𝑱𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒆𝒏𝒕𝒆𝒏𝒅𝒔 𝒔𝒆𝒔 𝒍𝒂𝒓𝒎𝒆𝒔. 𝑬𝒍𝒍𝒆𝒔 𝒏𝒆 𝒔𝒆 𝒗𝒐𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒑𝒂𝒔, 𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒆𝒍𝒍𝒆𝒔 𝒔𝒐𝒏𝒕 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒄𝒉𝒂𝒒𝒖𝒆 𝒊𝒏𝒕𝒐𝒏𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒔𝒂 𝒗𝒐𝒊𝒙, 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒄𝒉𝒂𝒒𝒖𝒆 𝒇𝒓𝒐𝒏𝒄𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒓𝒄𝒊𝒍𝒔, 𝒄𝒉𝒂𝒒𝒖𝒆 𝒕𝒓𝒆𝒔𝒔𝒂𝒊𝒍𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒔𝒆𝒔 𝒎â𝒄𝒉𝒐𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒄𝒂𝒓𝒓é𝒆𝒔. 𝑨𝒍𝒐𝒓𝒔, 𝒑𝒖𝒊𝒔𝒒𝒖𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒍𝒂𝒓𝒎𝒆𝒔 𝒔𝒐𝒏𝒕 𝒇𝒂𝒊𝒕𝒆𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓 ê𝒕𝒓𝒆 𝒗𝒆𝒓𝒔é𝒆𝒔, 𝒄𝒆 𝒔𝒐𝒊𝒓, 𝒄’𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒆𝒔 𝒋𝒐𝒖𝒆𝒔 𝒒𝒖’𝒆𝒍𝒍𝒆𝒔 𝒓𝒐𝒖𝒍𝒆𝒏𝒕. 𝑺𝒊𝒍𝒆𝒏𝒄𝒊𝒆𝒖𝒔𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒄𝒓𝒖𝒆𝒍𝒍𝒆𝒔. »
«𝓙’𝓪𝓿𝓪𝓲𝓼 𝓹𝓮𝓾𝓻 𝓹𝓸𝓾𝓻 𝓶𝓸𝓷 𝓳𝓮𝓾, 𝓪𝓵𝓸𝓻𝓼 𝓺𝓾’𝓮𝓷 𝓻é𝓪𝓵𝓲𝓽é, 𝓳’𝓪𝓾𝓻𝓪𝓲𝓼 𝓭û 𝓪𝓿𝓸𝓲𝓻 𝓹𝓮𝓾𝓻… 𝓭𝓮 𝓽𝓸𝓲. »
« 𝓘𝓵 𝓮𝓼𝓽 𝓵’𝓸𝓻𝓪𝓰𝓮. 𝓘𝓵 𝓮𝓼𝓽 𝓵𝓮 𝓽𝓸𝓷𝓷𝓮𝓻𝓻𝓮 𝓺𝓾𝓲 𝓻𝓸𝓾𝓵𝓮, 𝓵’é𝓬𝓵𝓪𝓲𝓻 𝓺𝓾𝓲 é𝓫𝓵𝓸𝓾𝓲𝓽, 𝓮𝓽 𝓵𝓪 𝓯𝓸𝓾𝓭𝓻𝓮 𝓺𝓾𝓲 𝓼’𝓪𝓫𝓪𝓽 𝓼𝓪𝓷𝓼 𝓹𝓻é𝓿𝓮𝓷𝓲𝓻. 𝓘𝓶𝓹𝓵𝓪𝓬𝓪𝓫𝓵𝓮. 𝓕𝓪𝓼𝓬𝓲𝓷𝓪𝓷𝓽. 𝓐𝓾𝓼𝓼𝓲 𝓼𝓾𝓹𝓮𝓻𝓫𝓮 𝓺𝓾’𝓮𝓯𝓯𝓻𝓪𝔂𝓪𝓷𝓽. »
C'est mon coeur qu'elle a foutu en l'air. Je croyais que j'étais vivant, mais c'est elle qui a remis de la vie dans chacun de mes gestes.
Une étudiante en psychologie pour m’aider à déployer mes capacités sportives?
Il est l’orage. Il est le tonnerre qui roule, l’éclair qui éblouit, et la foudre qui s’abat sans prévenir. Implacable. Fascinant. Aussi superbe qu’effrayant.
C’était d’autant moins amusant, j’imagine, que cela ne lui dit rien de ce que je ressens vraiment. Ça ne lui apprend rien de ces journées à la patinoire où je crevais d’ennui qu’elle ne soit pas là. De ces nuits sans sommeil où je mourrais d’envie qu’elle vienne les occuper. Que rien ne me rend plus heureux que de la voir s’agacer contre moi. Parce que j’existe. C’est simple, je ne me suis jamais senti aussi vivant que depuis que Quinn est à mes côtés.