Rarement lu un livre aussi mauvais. James Barrie doit non seulement se retourner dans sa tombe mais aussi creuser plus profond en voyant ce que l'autrice fait de son
Peter Pan. L'Héroïne, qui ne pense qu'à baiser, comme
Peter Pan et ses potes tatoués et bagouzés du Pays imaginaire, est incroyablement cruche et bête et se plaît bien d'avoir été kidnappée par cette bande de violeurs bodybuildés et à grosses queues (non, je n'invente rien). L'Histoire ? Ah, je la cherche encore, sans doute enfouie profondément dans le cerveau vide des personnages de ce livre. En fait si,
Peter Pan est triste, il a perdu son ombre à cause de cette "salope" de Clochette et de ces salopes de gonzesses en général. Bah, les lecteurs, eux, ont perdu bien plus : du temps.
Je ne connais pas l'éditeur, Roncière, mais ils auraient pu s'appeler de Sexuce.
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