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Critique de Walden-88


Le 16 octobre 1869, Henry Morton Stanley accepte la mission que lui assigne James Gordon Bennett Jr, le directeur du New York Herald. A savoir retrouver l'explorateur écossais David Livingstone, disparu depuis plusieurs années.
Stanley entame son périple qui le mène à Zanzibar où il constitue une caravane. le jeune homme ignore encore tout de l'Afrique et doit négocier habilement avec arabes, banyans et hindous musulmans qui règnent sur le commerce de cette partie de l'Afrique. Il s'entoure d'hommes d'expérience et constitue une caravane avec tout le matériel nécessaire à ce voyage de plus de mille kilomètres dans ce qui correspond à l'actuelle Tanzanie.
Sans oublier, bien sûr, la monnaie d'échange (verroterie, étoffes, fil de laitons, perles...) qui sont indispensables pour traverser les différents royaumes et payer un tribut.

L'expédition composée de 192 hommes (rassurez-vous ils seront bien moins nombreux à l'arrivée) va mener Stanley jusqu'à Ujiji sur les rives du célèbre Lac Tanganyika. Mais avec les chaleureuses retrouvailles entre les deux explorateurs et le fameux : "Docteur Livingstone, je présume ?" il faudra à notre jeune explorateur affronter la terrible traversée de l'Ounyanyembé et ses guerres tribales , la désertion de ses hommes, les maladies...

Un grand classique dans la littérature de voyage et sur les grands explorateurs, je dois néanmoins avouer que la seconde partie où Stanley et Livingstone passent quatre mois ensemble m'a un peu moins passionnée.
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