Dans ce récit aux accents autobiographiques, l'auteur raconte son enfance façonnée par la mort de sa mère, son obsession pour les Beatles, ses entrevues avec les défunts, ses cours de catéchisme et sa crainte de celui qu'il appelle l'Éternel, vieil homme colérique qu'il assimile à son père. Aussi tendre que décalé, fantaisiste que mélancolique, ce livre est tissé d'une sagesse candide aussi verdoyante et apaisante que les landes islandaises (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2024/02/19/
mon-sous-marin-jaune-jon-kalman-stefansson/)
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