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Critique de iris29
La montagne, une station de ski, le froid qui peut tuer.
Une disparition inquiétante, un cadavre retrouvé sur un télésiège, un commissariat en pénurie d'effectif, une inspectrice venue noyer son chagrin dans un sublime et immense chalet et une autrice qui démarre une nouvelle série policière...
C'est parce qu'elle se trouvait coincée à Are, dans les montagnes du Jamtlan, à cause des restrictions de déplacement liées au Coronavirus, que Viveca Sten a eu l'idée d'y placer une nouvelle série. On ne remerciera jamais assez ce bon vieux Coronavirus ( non, je plaisante !) .
Et l'ambiance de ce tome un est particulièrement réussie. Tout y est ralenti par le froid. le froid qui peut tuer si on reste trop longtemps à l'extérieur... ( mais ici, trop longtemps , c'est très court...)
Daniel est inspecteur de police dans un endroit sensé être calme, pas fréquenté par des meurtriers. Et surtout , il vient d'être papa et culpabilise énormément de toutes ces heures passées hors de chez lui pour les besoins de l'enquête.
Hanna, réfugiée dans la maison secondaire de sa soeur, cumule, deux échecs : elle est en passe d'être virée du commissariat de Stockholm pour n'avoir pas su fermer sa gueule, et son concubin vient de la "mettre à la porte".
Et même si j'ai cerné toutes les ficelles employées par l'auteure afin qu'on adhére à son histoire et surtout qu'on s'attache à ces deux personnages de flics, j'ai marché à fond .
J'ai aimé que pour une fois, ce soit l'homme, qui soit absorbé par sa famille, et la femme policière qui soit un peu paumée. Ce duo est attachant , et j'ai hâte de lire les épisodes prochains...
Mais ce qui m'a le plus plu, c'est le décor. Une station de ski, un chalet de vacances digne d'Architectural Digest sans aucun rapport avec la situation financière désastreuse d' Hanna laquelle ne fait pas ( du tout ), la fierté de ses parents , au contraire de sa si parfaite soeur (avocate, mariée, deux enfants)... J'ai aimé l'hostilité dûe au froid, qui fait que tout acte coûte, toute décision est ralentie.
Et puis j'ai aimé que cette disparition inquiétante cache plus que ça, mais chut...
Il fait moins vingt dans ce roman, ça caille sévére ! N'oubliez pas votre col roulé et une doudoune avant de le commencer ...
Une disparition inquiétante, un cadavre retrouvé sur un télésiège, un commissariat en pénurie d'effectif, une inspectrice venue noyer son chagrin dans un sublime et immense chalet et une autrice qui démarre une nouvelle série policière...
C'est parce qu'elle se trouvait coincée à Are, dans les montagnes du Jamtlan, à cause des restrictions de déplacement liées au Coronavirus, que Viveca Sten a eu l'idée d'y placer une nouvelle série. On ne remerciera jamais assez ce bon vieux Coronavirus ( non, je plaisante !) .
Et l'ambiance de ce tome un est particulièrement réussie. Tout y est ralenti par le froid. le froid qui peut tuer si on reste trop longtemps à l'extérieur... ( mais ici, trop longtemps , c'est très court...)
Daniel est inspecteur de police dans un endroit sensé être calme, pas fréquenté par des meurtriers. Et surtout , il vient d'être papa et culpabilise énormément de toutes ces heures passées hors de chez lui pour les besoins de l'enquête.
Hanna, réfugiée dans la maison secondaire de sa soeur, cumule, deux échecs : elle est en passe d'être virée du commissariat de Stockholm pour n'avoir pas su fermer sa gueule, et son concubin vient de la "mettre à la porte".
Et même si j'ai cerné toutes les ficelles employées par l'auteure afin qu'on adhére à son histoire et surtout qu'on s'attache à ces deux personnages de flics, j'ai marché à fond .
J'ai aimé que pour une fois, ce soit l'homme, qui soit absorbé par sa famille, et la femme policière qui soit un peu paumée. Ce duo est attachant , et j'ai hâte de lire les épisodes prochains...
Mais ce qui m'a le plus plu, c'est le décor. Une station de ski, un chalet de vacances digne d'Architectural Digest sans aucun rapport avec la situation financière désastreuse d' Hanna laquelle ne fait pas ( du tout ), la fierté de ses parents , au contraire de sa si parfaite soeur (avocate, mariée, deux enfants)... J'ai aimé l'hostilité dûe au froid, qui fait que tout acte coûte, toute décision est ralentie.
Et puis j'ai aimé que cette disparition inquiétante cache plus que ça, mais chut...
Il fait moins vingt dans ce roman, ça caille sévére ! N'oubliez pas votre col roulé et une doudoune avant de le commencer ...
