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Critique de POY1
La croisière de la Janet Nichol est le journal de bord rédigé par l'épouse de Robert Louis Stevenson, l'auteur de l'Ile au trésor.
Fanny Stevenson avait pour objectif de consigner les journées passés par la famille lors de ce périple et d'apporter des compléments d'informations à son mari pour la rédaction d'un nouveau livre.
Nous sommes en 1890. Robert Louis Stevenson est très malade. Il part en famille pour l'Australie pour y trouver un temps plus clément pour lui. Mais les hivers sont froids à Sydney. Alors, après une crise, la famille Stevenson décide de s'embarquer sur le Janet Nichol qui part dans les mers du Sud récupérer le coprah. Ce n'est pas le premier voyage des Stevenson dans ces eaux-là mais ce sera le dernier.
Fanny Stevenson décrit donc les journées de ce voyage maritime qui les amène d'île en île à la redécouverte des peuples qui les occupent. Elle décrit par petites touches leurs coutumes et leurs comportements. Loin du paradis, ils vivent pour beaucoup dans une misère accentuée par le peu de moyens de subsistances pour se nourrir correctement. Fanny Stevenson dépeint des peuples "enfantins" qui peuvent aller jusqu'à une violence impulsive et soudaine.
Si l'intérêt de la découverte de modes de vie passés des mers du Sud est avéré, la lecture de ce journal-note est très fastidieuse. Cela reste une suite d'évènements chronologiques qui n'avait pas pour but d'être éditée.
Fanny Stevenson avait pour objectif de consigner les journées passés par la famille lors de ce périple et d'apporter des compléments d'informations à son mari pour la rédaction d'un nouveau livre.
Nous sommes en 1890. Robert Louis Stevenson est très malade. Il part en famille pour l'Australie pour y trouver un temps plus clément pour lui. Mais les hivers sont froids à Sydney. Alors, après une crise, la famille Stevenson décide de s'embarquer sur le Janet Nichol qui part dans les mers du Sud récupérer le coprah. Ce n'est pas le premier voyage des Stevenson dans ces eaux-là mais ce sera le dernier.
Fanny Stevenson décrit donc les journées de ce voyage maritime qui les amène d'île en île à la redécouverte des peuples qui les occupent. Elle décrit par petites touches leurs coutumes et leurs comportements. Loin du paradis, ils vivent pour beaucoup dans une misère accentuée par le peu de moyens de subsistances pour se nourrir correctement. Fanny Stevenson dépeint des peuples "enfantins" qui peuvent aller jusqu'à une violence impulsive et soudaine.
Si l'intérêt de la découverte de modes de vie passés des mers du Sud est avéré, la lecture de ce journal-note est très fastidieuse. Cela reste une suite d'évènements chronologiques qui n'avait pas pour but d'être éditée.
