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Critique de morganecld
Ava était une jeune fille pleine de vie, adorant chanter les comédies musicales. Oui, mais tout changea après l'incendie qui lui prit ses parents, sa cousine et son corps. Brûlée à 60 %, elle est recueillie par son oncle et sa tante.
Criblée de cicatrices, devant porter des vêtements de compression, sa vie d'adolescente est devenue un enfer. Surtout depuis qu'elle est retournée au lycée.
"Freddy Kruger", la "brûlée", les autres ne sont pas tendres avec elle. Son quotidien s'adoucit lorsqu'elle rencontre Piper, une autre brûlée qui lui redonne la force d'affronter le quotidien.
Dévisagée est un roman d'environ 400 pages, écrites du point de vue d'Ava. Sa douleur, son envie de disparaître, sa culpabilité d'être celle qui a survécu, tout cela transparaît dans les mots et le ton employé. Ce récit est brut, à vif, et parlera beaucoup à tous ceux qui portent des cicatrices et qui en ont souffert ou en souffrent toujours.
Comme le dit Ava, nous avons tous des cicatrices, certaines plus visibles que d'autres. Et tout le monde peut en souffrir. Pour Piper, par exemple, en plus de ses cicatrices visibles, elle porte en elle une énorme culpabilité qui la ronge et la rend agressive avec tout le monde.
J'ai été émue par ce livre, surtout en lisant les passages du journal de bord d'Ava qu'elle tient pour le groupe de soutien, et parce que l'histoire me touche personnellement. C'est un livre que j'aurai aimé lire adolescente. Il m'aurait fait énormément de bien.
Criblée de cicatrices, devant porter des vêtements de compression, sa vie d'adolescente est devenue un enfer. Surtout depuis qu'elle est retournée au lycée.
"Freddy Kruger", la "brûlée", les autres ne sont pas tendres avec elle. Son quotidien s'adoucit lorsqu'elle rencontre Piper, une autre brûlée qui lui redonne la force d'affronter le quotidien.
Dévisagée est un roman d'environ 400 pages, écrites du point de vue d'Ava. Sa douleur, son envie de disparaître, sa culpabilité d'être celle qui a survécu, tout cela transparaît dans les mots et le ton employé. Ce récit est brut, à vif, et parlera beaucoup à tous ceux qui portent des cicatrices et qui en ont souffert ou en souffrent toujours.
Comme le dit Ava, nous avons tous des cicatrices, certaines plus visibles que d'autres. Et tout le monde peut en souffrir. Pour Piper, par exemple, en plus de ses cicatrices visibles, elle porte en elle une énorme culpabilité qui la ronge et la rend agressive avec tout le monde.
J'ai été émue par ce livre, surtout en lisant les passages du journal de bord d'Ava qu'elle tient pour le groupe de soutien, et parce que l'histoire me touche personnellement. C'est un livre que j'aurai aimé lire adolescente. Il m'aurait fait énormément de bien.
