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Critique de Luluedwi
J'avais dévoré la saga Frisson (bien que la fin ait été un peu tirée par les cheveux) et ce roman me faisait envie depuis un bon moment.
Autant le dire tout de suite, je n'ai pas été déçu. J'ai adoré l'ambiance. Il se dégage de ce livre une atmosphère de mystère, d'orages et de liberté, qui m'a totalement embarquée (Je ne parle même pas de la couverture qui est tout simplement magnifique)
Le sujet, d'abord. Ces chevaux de mer de légende, à le fois terrifiants et majestueux, ça change des vampires/zombies/loups-garous, et ça fait du bien. On sent qu'il y a de la recherche sur les légendes existantes, mais que l'auteur a aussi su y apporter sa propre vision des choses. Et le résultat est fascinant. Et même si l'on est pas passionné d'équitation ou quoi que ce soit, on retient son souffle lorsque les personnages les chevauchent.
Les personnages, justement parlons-en. Ils sont travaillés, dosés, Puck est farouche, timide et courageuse, Sean est taciturne, distant et fragile. Leur rencontre n'a rien d'un coup de foudre, et leur relation est plus que froide au début. C'est grâce à leurs failles, leurs confidences et à l'entraide qu'ils vont mettre en place que leur amitié va naître. Une belle amitié, tout en timidité et en découvertes. Une relation que Maggie Stiefvater a su ne pas précipiter et laisser éclore à son rythme. Les autres personnages, comme le petit frère de Puck, sont tous aussi intéressants, on les déteste ou on s'y attache, mais aucun ne nous laisse indifférent.
Quant à l'histoire, on s'y laisse entrainer, la majorité du roman est axée sur la préparation des deux personnages à la course et aux divers problèmes auquels ils font face, comme le départ du grand frère de Puck, les difficultés de Sean avec son travail et son combat pour monter Corr. Et la deuxième et dernière partie est centrée sur la course, et est tout aussi dense et entrainante, le suspens est maitrisé jusqu'à la fin et l'on retient son souffle lorsque les protagonistes se mettent en place pour le départ.
En conclusion, un quasi-sans faute (le début est peut-être un peu long, les 40 premières pages, mais sur 480 c'est négligeable) pour Maggie Stiefvater. Je recommande ce livre à n'importe qui, c'est vraiment un coup de coeur.
Autant le dire tout de suite, je n'ai pas été déçu. J'ai adoré l'ambiance. Il se dégage de ce livre une atmosphère de mystère, d'orages et de liberté, qui m'a totalement embarquée (Je ne parle même pas de la couverture qui est tout simplement magnifique)
Le sujet, d'abord. Ces chevaux de mer de légende, à le fois terrifiants et majestueux, ça change des vampires/zombies/loups-garous, et ça fait du bien. On sent qu'il y a de la recherche sur les légendes existantes, mais que l'auteur a aussi su y apporter sa propre vision des choses. Et le résultat est fascinant. Et même si l'on est pas passionné d'équitation ou quoi que ce soit, on retient son souffle lorsque les personnages les chevauchent.
Les personnages, justement parlons-en. Ils sont travaillés, dosés, Puck est farouche, timide et courageuse, Sean est taciturne, distant et fragile. Leur rencontre n'a rien d'un coup de foudre, et leur relation est plus que froide au début. C'est grâce à leurs failles, leurs confidences et à l'entraide qu'ils vont mettre en place que leur amitié va naître. Une belle amitié, tout en timidité et en découvertes. Une relation que Maggie Stiefvater a su ne pas précipiter et laisser éclore à son rythme. Les autres personnages, comme le petit frère de Puck, sont tous aussi intéressants, on les déteste ou on s'y attache, mais aucun ne nous laisse indifférent.
Quant à l'histoire, on s'y laisse entrainer, la majorité du roman est axée sur la préparation des deux personnages à la course et aux divers problèmes auquels ils font face, comme le départ du grand frère de Puck, les difficultés de Sean avec son travail et son combat pour monter Corr. Et la deuxième et dernière partie est centrée sur la course, et est tout aussi dense et entrainante, le suspens est maitrisé jusqu'à la fin et l'on retient son souffle lorsque les protagonistes se mettent en place pour le départ.
En conclusion, un quasi-sans faute (le début est peut-être un peu long, les 40 premières pages, mais sur 480 c'est négligeable) pour Maggie Stiefvater. Je recommande ce livre à n'importe qui, c'est vraiment un coup de coeur.
