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Critique de NMTB
Midnight Nation commence comme un bon vieux polar qui bascule très vite dans le fantastique. Un imaginaire symbolique dont le sujet principal est la mort. L'action se déroule dans un univers entre la vie et la mort, avec des sortes de zombies ou de vampires : « L'entre-deux ».
Le scénario est lent et il y a pas mal de bavardages à côté sur des problèmes sociaux et sur la religion chrétienne. Straczynski est loin d'avoir tout misé sur une action palpitante. Il y a des idées et même des idéologies dans cette BD. Au bout compte, elles n'ont rien de très originales ; on connait la chanson. Malgré tous les démons dessinés dans ce comic (et joliment dessinés d'ailleurs), le message est simple, angélique et donneur de leçon. L'espoir, mes amis ! L'espoir ! Il faut garder l'espoir coûte que coûte, c'est la clef. Même si ta vie c'est de la merde irrécupérable et si tu es seul comme un rat au fond de ton trou. Ceux qui ont commencé à perdre la foi ont déjà commencé à perdre leur âme, ils sont presque morts. A la bonne heure ! Ravi de l'apprendre.
Le scénario est lent et il y a pas mal de bavardages à côté sur des problèmes sociaux et sur la religion chrétienne. Straczynski est loin d'avoir tout misé sur une action palpitante. Il y a des idées et même des idéologies dans cette BD. Au bout compte, elles n'ont rien de très originales ; on connait la chanson. Malgré tous les démons dessinés dans ce comic (et joliment dessinés d'ailleurs), le message est simple, angélique et donneur de leçon. L'espoir, mes amis ! L'espoir ! Il faut garder l'espoir coûte que coûte, c'est la clef. Même si ta vie c'est de la merde irrécupérable et si tu es seul comme un rat au fond de ton trou. Ceux qui ont commencé à perdre la foi ont déjà commencé à perdre leur âme, ils sont presque morts. A la bonne heure ! Ravi de l'apprendre.
