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Critique de traversay


Après la force peu commune de la faculté des rêves, Sara Stridsberg revient avec Darling River, qui entremêle plusieurs histoires, comme autant de variations autour de la Lolita de Nabokov. J'ai été vite rebuté par la forme de ce faux roman, qui part dans toutes les directions et ne semble avoir d'autre objectif que de créer un énorme malaise. Pour Sara Stridsberg, Lolita est un livre pédophile, et elle multiplie les scènes dérangeantes et les obscénités douloureuses. J'ai abandonné avant la fin, vaincu autant par la crudité du ton que par l'aspect décousu et protéiforme de l'oeuvre. Ce qui avait fonctionné dans La faculté des rêves, et avec quelle puissance, m'a semblé ici artificiel et uniquement sous-tendu par la volonté de choquer. Ce n'est que mon partial avis.
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