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Par le biais du journal de William Dexter (anciennement Dragomir Radulesku) se voulant un avertissement au monde des vivants, nous entrons dans un monde d'horreurs.
Loin des vampires à l'élégance rare rencontrés dans la saga d'Anne Rice, l'Univers de Frédéric Studzinki nous plonge dans des paysages glacés et effrayants que H. P. Lovecraft aurait apprécié.
Passionnée par son écriture élégante voire poétique, par ses descriptions précises et terrifiantes, par l'atmosphère ressentie, j'ai vécu un étrange voyage dans le temps de plus de quarante ans en arrière.
À cette époque, ma soeur Claudine et moi-même, nous découvrions Lovecraft. Dagon, Cthulu, le Nécronomicon, Nyarlathotep surnommé le Chaos rampant animaient nos échanges littéraires.
La seconde partie de l'ouvrage est tout aussi stressante et prenante.
Des envies de connaître la fin de l'histoire sans vraiment oser allet au bout de cette envie car pour la plupart de ces récits, la fin est inéluctable.
Frédéric Studzinski est un auteur à lire "en plein jour" car dans l'obscurité se cachent des monstres issus de nos pires terreurs.
Critique de LilianeLambertLorent
Par le biais du journal de William Dexter (anciennement Dragomir Radulesku) se voulant un avertissement au monde des vivants, nous entrons dans un monde d'horreurs.
Loin des vampires à l'élégance rare rencontrés dans la saga d'Anne Rice, l'Univers de Frédéric Studzinki nous plonge dans des paysages glacés et effrayants que H. P. Lovecraft aurait apprécié.
Passionnée par son écriture élégante voire poétique, par ses descriptions précises et terrifiantes, par l'atmosphère ressentie, j'ai vécu un étrange voyage dans le temps de plus de quarante ans en arrière.
À cette époque, ma soeur Claudine et moi-même, nous découvrions Lovecraft. Dagon, Cthulu, le Nécronomicon, Nyarlathotep surnommé le Chaos rampant animaient nos échanges littéraires.
La seconde partie de l'ouvrage est tout aussi stressante et prenante.
Des envies de connaître la fin de l'histoire sans vraiment oser allet au bout de cette envie car pour la plupart de ces récits, la fin est inéluctable.
Frédéric Studzinski est un auteur à lire "en plein jour" car dans l'obscurité se cachent des monstres issus de nos pires terreurs.
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