Quand vint l'été et que son départ fut proche, il se retira dans sa chambre, en verrouilla la porte et retira du coffre de chêne le linceul de son père. Son intention était d'y tailler une chemise qu'il porterait sur lui au combat. Il avait le souvenir d'un linge blanc parsemé de taches sombres dues au sang caillé. Il fut foudroyé de stupeur quand il vit sur le linceul l'empreinte sanglante du défunt.