Une couverture faisant penser aux plus vieux (film de 1966) à
Clint Eastwood dans son rôle légendaire de l'homme sans nom,
Blondin...
Le reste est à l'avenant, et c'est forcément ce qu'on cherche lorsqu'on s'attaque à cette BD.
On n'est pas déçu, les graphismes sont beaux, crépusculairement enneigés. le découpage est fluide et l'histoire est simple, froide, nette.
Manque juste la bande son d'Ennio Morricone...
Commenter  J’apprécie         70