À l'occasion du 25ème "Rendez-vous de l'Histoire" à Blois, Marc Dambre vous présente son ouvrage "Génération hussards : Nimier, Blondin, Laurent... : histoire d'une rébellion en littérature" aux éditions Perrin.
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Note de musique : © mollat
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Quand on meurt de faim, il se trouve toujours un ami pour vous offrir à boire.
- Le seul obstacle entre nous, disait-elle, c’est la boisson.
- Je boirai l’obstacle, répondais-je.
Aux signes extérieurs de richesse, je préfère certains signes de richesse intérieure.
La télévision fait disparaître beaucoup de choses. Les cafés existent de moins en moins. Quand on va dans un café, ce n'est pas vraiment pour boire. C'est pour aller à la rencontre de ses semblables. On ne lit plus tellement non plus. On regarde la télévision. C'est chacun pour soi et la solitude pour tous.
Antoine Blondin, Entretien avec Emmanuel Legeard, Paris Normandie, 1988
je vis au seuil de moi-même, à l'intérieur il fait sombre
Écrire me donne un mal de chien. Constamment, je fais un gros effort. Il y a des moments où, par éclair, cela ne m'ennuie pas trop, heureusement. J'ai le trac. Je n'aime pas écrire. C'est bon quand c'est fini. L'histoire du fou qui se tape sur la tête avec une brique et qui dit : "C'est bon quand je m'arrête", voilà exactement ce que j'éprouve.
Sait-on jamais ce que c’est. Ce va-et-vient aux abîmes est un trajet solitaire. Ceux qui remontent de ces gouffres se sont cherchés sans se rejoindre. Seule, la cruauté du jour rassemble leur troupeau errant. Ils renaissent douloureusement et se retournent : la nuit a effacé la trace de leur pas. Les ivresses, si contagieuses, sont incommunicables.
« Les bouteilles à la mer ne ramènent pas souvent les réponses. »
Un homme avec des fleurs, le plus empoté, c'est l'homme.
Je n'ai jamais osé être de gauche quand j'étais jeune, de peur de devenir de droite en vieillissant.