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Critique de bdelhausse
Avec ce tome 3, le tandem Griffo-Swolfs prend son temps. Vlad et Elenstein, son partenaire de circonstance, prennent un raccourci dans les plaines russes... et c'est bien connu: un raccourci rallonge toujours le trajet (cela compte au rang des plus vérifiables des lois de Murphy).
En l'occurrence, ils foncent à travers une Zone Rouge, puissamment surveillée et gardée, suite à un incident nucléaire qui range Tchernobyl au rang de pet de souris. Evidemment, cette zone est finalement bien plus peuplée que l'on ne s'y attendrait... Et Vlad et Elenstein sont capturés et enrolés, l'un comme garde et l'autre comme attaché de presse d'un savant fou, qui travaille sur la génétique. Descendant d'un rescapé des camps de la mort, Elenstein se fourre dans la gueule du loup...
Astucieusement, les auteurs terminent sur un hang-over, et évitent de boucler une histoire très dense en un seul tome. Ils ont donc l'occasion d'approfondir les personnages secondaires et de développer l'intrigue et ses ramifications, ce qu'ils n'avaient pas fait dans le tome 2, expédié à la vitesse d'un TGV.
Même si j'ai toujours des réminiscences de Jeremiah face au scénario de Swolfs, je trouve que Vlad commence à trouver ses marques. Cela valait donc la peine de s'accrocher.
En l'occurrence, ils foncent à travers une Zone Rouge, puissamment surveillée et gardée, suite à un incident nucléaire qui range Tchernobyl au rang de pet de souris. Evidemment, cette zone est finalement bien plus peuplée que l'on ne s'y attendrait... Et Vlad et Elenstein sont capturés et enrolés, l'un comme garde et l'autre comme attaché de presse d'un savant fou, qui travaille sur la génétique. Descendant d'un rescapé des camps de la mort, Elenstein se fourre dans la gueule du loup...
Astucieusement, les auteurs terminent sur un hang-over, et évitent de boucler une histoire très dense en un seul tome. Ils ont donc l'occasion d'approfondir les personnages secondaires et de développer l'intrigue et ses ramifications, ce qu'ils n'avaient pas fait dans le tome 2, expédié à la vitesse d'un TGV.
Même si j'ai toujours des réminiscences de Jeremiah face au scénario de Swolfs, je trouve que Vlad commence à trouver ses marques. Cela valait donc la peine de s'accrocher.
