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Critique de sophie7169
1980 ou 2018 ? Joshua ne sait plus. Il se réveille d'une chute en étant agent de sécurité et se retrouve ensuite flic, rescapé d'une avalanche en 2018. Il va donc enquêter pour démêler rêves, réalités ou autres…
La quatrième de couverture m'a totalement enthousiasmée. Je connaissais cet auteur de nom mais je n'avais jamais rien lu. J'ai trouvé son livre par hasard lors de mes déambulations pendant les Quais du Polar à Lyon. J'ai demandé au libraire s'il s'agissait d'une série, il n'était pas très sûr, mais m'a dit que c'était son premier (ce qui n'est pas le cas, mais ce n'est pas non plus une série).
Dès le départ, j'ai été un peu décontenancée par le style. Il écrit très bien, mais le ton est sec et haché et il y a des répétitions (je crois qu'on a deux ou trois fois « dans un silence d'église) ce qui a rendu difficile mon immersion dans l'histoire.
Ensuite, les ressemblances avec Shining qui passent d'abord pour un hommage à Stephen King deviennent lourdes et omniprésentes. Cela donne une impression de déjà-vu.
Il y a aussi une violence sous-entendue, omniprésente, même chez les personnages principaux. Cela crée une ambiance lourde et favorable à l'hyper vigilance qui rend la lecture assez laborieuse.
Les clichés s'enchaînent à la fin, ainsi que les incohérences, plus quelques violences gratuites (que, heureusement, je sentais venir). Je suis donc extrêmement déçue d'autant plus que j'en attendais beaucoup à la lecture de la quatrième. Tant pis.
La quatrième de couverture m'a totalement enthousiasmée. Je connaissais cet auteur de nom mais je n'avais jamais rien lu. J'ai trouvé son livre par hasard lors de mes déambulations pendant les Quais du Polar à Lyon. J'ai demandé au libraire s'il s'agissait d'une série, il n'était pas très sûr, mais m'a dit que c'était son premier (ce qui n'est pas le cas, mais ce n'est pas non plus une série).
Dès le départ, j'ai été un peu décontenancée par le style. Il écrit très bien, mais le ton est sec et haché et il y a des répétitions (je crois qu'on a deux ou trois fois « dans un silence d'église) ce qui a rendu difficile mon immersion dans l'histoire.
Ensuite, les ressemblances avec Shining qui passent d'abord pour un hommage à Stephen King deviennent lourdes et omniprésentes. Cela donne une impression de déjà-vu.
Il y a aussi une violence sous-entendue, omniprésente, même chez les personnages principaux. Cela crée une ambiance lourde et favorable à l'hyper vigilance qui rend la lecture assez laborieuse.
Les clichés s'enchaînent à la fin, ainsi que les incohérences, plus quelques violences gratuites (que, heureusement, je sentais venir). Je suis donc extrêmement déçue d'autant plus que j'en attendais beaucoup à la lecture de la quatrième. Tant pis.
