Citations sur Les chefs-d'oeuvre de Lovecraft : Dans l'abîme du temps.. (10)
"Encore aujourd'hui, je serais incapable de dire où finit mon délire et où commencent mes vrais souvenirs."
Il existe sur terre certaines choses qu’il est préférable que l’homme ignore !
Il n’y a rien de tel que les livres pour développer ses connaissances, dans n’importe quelque domaine que ce soit !
- Selon la théorie de l’évolution, toute forme de vie se transforme graduellement au fil des générations pour s’adapter à son milieu, par conséquent l’intégralité des espèces vivantes actuellement sur Terre sont des variantes de…
- « L’intégralité » ? Allons, donc :
- Euh… Vous avez une question, Monsieur Peaslee ?
- Et bien, loin de moi de prétendre que cette théorie est entièrement fausse… Cependant vouloir l’appliquer à l’ensemble des espèces est un raisonnement bien puéril, vous ne trouvez pas ?
- Vous considérez sans doute, d’un point de vue religieux, que ce principe ne peut pas rendre compte de l’origine de l’homme, n’est-ce pas ? Pourtant, la science est formelle : l’homme est un primate !
- Non, je ne parle pas de l’homme. Je sais très bien qu’il n’est que la fragile et imparfaite évolution d’un vulgaire germe. Ce que j’aimerais savoir, c’est jusqu’où porte votre connaissance de tous les êtres venus des étoiles voilà des milliards d’années ! Euh... ha ha ha ha ! Pardonnez-moi ! Je plaisante, bien évidemment ! Ha ha ha ha !
J’ai la certitude qu’il existe sur Terre certaines choses qu’il est préférable que l’homme ignore !
J'échangeais avec l'esprit de Yiang-Li, un philosophe du cruel empire de Tsan-Chan, qui adviendra vers l'an 5000 de notre ère.
La Grand-Race avait bâti une immense bibliothèque, contenant des millions de volumes ; la totalité des annales de la Terre y était rassemblée sous forme de textes et de gravures. L'histoire et la description de toutes les espèces qui avaient été ou seraient jamais, avec le détail de leurs arts, leurs actions, leurs langues et leur pensée.
Il y a en ce monde certaines choses dont il est préférable pour l'homme d'ignorer l'existence.
A mesure que nous approchions du site de cet ancien monde. Je sentais une réelle terreur grandir en moi.
Cette sinistre étendue aride provoquait chez moi, Nathaniel Wingate Peaslee, un étrange sentiment...un mélange d’horreur et de curiosité, mais plus encore...une impression de déjà-vu aussi déroutante que tenace.