On dit que les amants sont comme les tatamis : il vaut mieux les prendre jeunes.
Le dépit de la maîtresse ne faisait que croître et les flammes de la jalousie la rongeaient sans cesse. La fureur empirant, une curieuse pustule apparut sous un œil…
- Dites, en réalité, vous avez un amoureux, non ?
- Je suis fatiguée des hommes !
- Pourtant, on raconte que vous êtes en excellents termes avec Buzen Dayû, deuxième du nom !
- Lui, il est au-dessus de la vulgarité de ce monde… Ce n’est pas moi qui pourrais l’attirer…
"Chaque nuit...un masseur aveugle, dont le visage est empreint de rancune, apparait..."
- Dis… Tu n’as pas froid, avec une seule couette ?
- Non, j’ai l’habitude. C’est comme les gâteaux de riz roulés dans une feuille de chêne… Comme le vent n’atteint pas les gâteaux, ils sont chauds et la prune à l’intérieur a un goût excellent.