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Critique de tchouk-tchouk-nougat


En Septembre 1940, Nestor Burma est prisonnier dans un stalag. La bas il y a un pauvre hère qui titille sa curiosité : tout le monde l'appelle la Globule et il est amnésique. Quand il va rendre l'âme dans la sordide infirmerie du camp où Nestor Burma s'est trouvé un emploi planqué, il lâche quelques mots : "prévenir Hélène, 120 rue de la gare".
Des mots qu'il va réentendre lorsque son train de rapatriés de guerre arrive à Lyon. Son collègue se fait tuer devant ses yeux, il n'aura le temps que de lâcher cette adresse : 120, rue de la gare. Coïncidence? Avec Nestor Burma jamais!

Nous voici donc parti pour une enquête (de quand même 190 pages) avec notre détective privé préféré. D'abord à Lyon, puis à Paris alors que la ville est encore sous l'occupation allemande.
J'ai bien aimé cette enquête avec ses nombreuses pistes, indices et faux coupables. Ca s'embranche pas mal, en finit de douter de tous les protagonistes. Mais toujours on arrive à garder le fil sans trop s'embrouiller ni se perdre. Un bon policier bien ficelé donc.

Les dessins de Tardi, en noir et blanc, font leur office avec efficacité et simplicité.
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