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Critique de luxinlisbon
N'ayant pas lu Real life (oui, je sais), je sautais dans l'inconnu pour mon premier Brandon Taylor. Et j'ai un peu de mal à définir mon ressenti suite à cette lecture. Il y a des chapitres que j'ai adorés (ceux, très peu nombreux, centrés sur des femmes : Bea et Fatima, coeur sur elles), d'autres qui m'ont fatiguée (quoi, encore du sexe triste ??), et des personnages que j'ai mis un long moment à replacer dans leur contexte.
Pourtant, la plupart reviennent au fil des chapitres : ce sont des voisins dans l'immeuble, des camarades de promo à la fac, des gens qui se croisent en soirée... le fait de les faire revenir plusieurs fois, parfois comme personnage central, parfois en périphérie, est une très bonne idée. Mais j'avais toujours du mal à me souvenir de qui était danseur, qui était poète, qui était pauvre, qui était riche ?
Je suis un peu mitigée, par la place trop grande (à mon sens) prise par le sexe pour régler les problèmes entre les personnes. J'ai eu comme l'impression que les couples l'étaient par dépit, que tout le monde trompait tout le monde, et que personne n'était heureux. Certes, cela peut être une réalité.
Mes moments préférés restent ceux où les personnages blancs, riches et insupportables se font remettre à leur place. Et, pour quelqu'un de non artistique comme moi, c'était tout de même une plongée très intéressante dans le monde de la création, de la passion pour son art et des sacrifices que l'on fait.
(TW : il y a deux agressions sexuelles dans le roman.)
Pourtant, la plupart reviennent au fil des chapitres : ce sont des voisins dans l'immeuble, des camarades de promo à la fac, des gens qui se croisent en soirée... le fait de les faire revenir plusieurs fois, parfois comme personnage central, parfois en périphérie, est une très bonne idée. Mais j'avais toujours du mal à me souvenir de qui était danseur, qui était poète, qui était pauvre, qui était riche ?
Je suis un peu mitigée, par la place trop grande (à mon sens) prise par le sexe pour régler les problèmes entre les personnes. J'ai eu comme l'impression que les couples l'étaient par dépit, que tout le monde trompait tout le monde, et que personne n'était heureux. Certes, cela peut être une réalité.
Mes moments préférés restent ceux où les personnages blancs, riches et insupportables se font remettre à leur place. Et, pour quelqu'un de non artistique comme moi, c'était tout de même une plongée très intéressante dans le monde de la création, de la passion pour son art et des sacrifices que l'on fait.
(TW : il y a deux agressions sexuelles dans le roman.)
