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Critique de Luria
La capsule qui fait déborder le vase
Je sais qu'en anglais les répétitions sont tolérées.
Mais là ou bien la traductrice s'en fichait ou elle voulait qu'on réalise quel bazar elle traduit chaque fois.
Bref.
Capsule.
Ce mot qui revient en diable.
Comme le hoquet.
Utilisé toutes les phrases, sans synonyme ni rien, sur toute une page, puis très (très) (très) souvent sur les suivantes. Comme un panneau lumineux éclairant la faiblesse du texte. Ad nauseam.
Entre ça et les invraisemblances (oh je suis convalescente je ne peux pas courir) (deux pages plus loin, je peux à fond les ballons), je commençais le chapitre 4 que j'en avais déjà marre.
Heureusement pour la capsule qui me sert d'esprit, nos héros se sont ensuite posés un peu et donc le vocabulaire a pris de nouveaux horizons bien plus supportables (quoique gnagnans aussi parfois hélas). L'aventure a ainsi pour moi réellement débutée après s'être de nouveau interrompue pour un petit voyage dans le temps (en, tenez vous bien, capsule !) comme les programmes sont interrompus par la pub.
Je râle toujours mais à ce moment là les pages ont été dévorées bien plus vite que les 5 premiers chapitres et j'ai atteint la fin du livre sans me dire comme au début que j'allais difficilement pouvoir lire toute la saga (enfin je veux dire cette collection capsule) pour buter encore sur les derniers paragraphes parce que beaucoup de combats. Et ça me lourde de lire des combats.
Bref.
Absolument résolument moyen.
Et il reste 5 livres.
Je sais qu'en anglais les répétitions sont tolérées.
Mais là ou bien la traductrice s'en fichait ou elle voulait qu'on réalise quel bazar elle traduit chaque fois.
Bref.
Capsule.
Ce mot qui revient en diable.
Comme le hoquet.
Utilisé toutes les phrases, sans synonyme ni rien, sur toute une page, puis très (très) (très) souvent sur les suivantes. Comme un panneau lumineux éclairant la faiblesse du texte. Ad nauseam.
Entre ça et les invraisemblances (oh je suis convalescente je ne peux pas courir) (deux pages plus loin, je peux à fond les ballons), je commençais le chapitre 4 que j'en avais déjà marre.
Heureusement pour la capsule qui me sert d'esprit, nos héros se sont ensuite posés un peu et donc le vocabulaire a pris de nouveaux horizons bien plus supportables (quoique gnagnans aussi parfois hélas). L'aventure a ainsi pour moi réellement débutée après s'être de nouveau interrompue pour un petit voyage dans le temps (en, tenez vous bien, capsule !) comme les programmes sont interrompus par la pub.
Je râle toujours mais à ce moment là les pages ont été dévorées bien plus vite que les 5 premiers chapitres et j'ai atteint la fin du livre sans me dire comme au début que j'allais difficilement pouvoir lire toute la saga (enfin je veux dire cette collection capsule) pour buter encore sur les derniers paragraphes parce que beaucoup de combats. Et ça me lourde de lire des combats.
Bref.
Absolument résolument moyen.
Et il reste 5 livres.
