Deux petites heures d'évasion réjouissantes au cours des 140 pages sur ces chemins noirs, dans lesquels j'ai trouvé exactement ce que je venais y chercher : un pas de côté hors du monde technocratique et désenchanté, un temps de déconnexion, des sensations et saveurs de nature toute simple, le tout mâtiné d'humour et de ces réflexions désabusées qui font le charme de ce dandy cavaleur de Tesson.
Un bon bol d'air dont se contente faute de mieux la parisienne sédentaire que je suis !
Commenter  J’apprécie         490