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Critique de NofSet
Publié par Delcourt "Dororo" est prévu en deux gros volumes intégrales de 400 pages, version Deluxe. L'oeuvre prolifique de Osamu Tezuka le père du manga moderne, compte environ 700 titres, et cette histoire qu'il nous propose, fait partie d'une transition qu'opéra l'artiste, dans la période Gekiga. Avec un manga plutôt violent est résolument adulte, le récit se veut plus dure que d'habitude, et beaucoup plus sombre aussi.
Le seigneur Daïgo père de Hyakkimaru fait un pacte avec 48 démons il veut devenir le maitre du pays tout entier, et pour l'obtenir il propose en échange une partie du corps de son enfant à naître à chacun d'eux. L'enfant survit à cet épreuve et vat développer des capacités étonnantes, compensant très largement son handicap, il part à l'aventure avec la ferme intention d'exister, en se reconstruisant morceau part morceau, un héros en kit en somme...
L'ouvrage même si l'est assez sombre, regorge de l'humour habituel de Tezuka, et tout n'est pas orienté sur la quête de Hyakkimaru, Dororo a une place importante dans cet histoire qui porte son nom, lui aussi à eu droit à sa part de terreur et de noirceur.
Malgré son épaisseur ce manga peut ce lire d'une traite, comme c'est souvent le cas avec cet artiste, c'est une histoire qui vaut le détour et qu'il ne faut surtout pas louper.
Le seigneur Daïgo père de Hyakkimaru fait un pacte avec 48 démons il veut devenir le maitre du pays tout entier, et pour l'obtenir il propose en échange une partie du corps de son enfant à naître à chacun d'eux. L'enfant survit à cet épreuve et vat développer des capacités étonnantes, compensant très largement son handicap, il part à l'aventure avec la ferme intention d'exister, en se reconstruisant morceau part morceau, un héros en kit en somme...
L'ouvrage même si l'est assez sombre, regorge de l'humour habituel de Tezuka, et tout n'est pas orienté sur la quête de Hyakkimaru, Dororo a une place importante dans cet histoire qui porte son nom, lui aussi à eu droit à sa part de terreur et de noirceur.
Malgré son épaisseur ce manga peut ce lire d'une traite, comme c'est souvent le cas avec cet artiste, c'est une histoire qui vaut le détour et qu'il ne faut surtout pas louper.
