Quel bonheur de retrouver l'équipe du 36. Malgré un début longuet à mon sens, j'étais si heureuse de retrouver la team de
Sharko. Pas dans la meilleure des postures, évidemment. Je ne vais pas vous mentir, ils m'ont tous manqué et la plume de
Thilliez également. Fidèle à lui-même, il nous emmène avec lui dans les tréfonds des pires horreurs humaines. Encore une fois, on découvre une enquête bien ficelée, appuyée par des recherches toujours plus poussées. À chaque nouveau roman,
Thilliez m'impressionne par la justesse des faits qu'il relate. J'en ressors toujours avec plus de connaissances dans les domaines qu'il traite. Dans «
La faille », on parle d'expériences de mort imminente et de la façon dont celles-ci peuvent pallier à notre bien être mental. Un sujet complexe.
Thilliez est très juste dans ce qu'il décrit je trouve. Malgré l'aspect fiction de ses romans, il y a toujours une part de vérité. L'auteur a cette faculté pour vous emmener dans son univers, de vous rendre accro à sa plume. Depuis «
Train d'enfer pour ange rouge », je ne le quitte plus. Je suis fan et là encore il m'a transporté. Impossible de lâcher ma lecture jusqu'au point final. On en redemande toujours plus, on n'en a jamais assez.
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