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Critique de OSOLEMIO
***2003 : le premier roman de Franck Thilliez et l'apparition de son policier fétiche : Sharko avec lequel il a obtenu le Prix de la SNCF 2004 ! L'auteur, ingénieur en informatique démissionne pour se consacrer à l'écriture et à tous ces chefs d'oeuvre de la littérature policière ainsi qu'au cinéma....
Le commissaire Sharko : un homme du Nord de 40 ans, un fils de mineur qui va se lancer dans une enquête " hors norme " avec acharnement, passion de son métier !
En effet, Martine Prieur ( 35 ans ) vient d'être retrouvée décapitée, suspendue à 8 crochets tenus eux même par des cordes : elle a été bâillonnée, torturée, elle est en morceaux, avec les globes oculaires extraits puis remis en place avec le regard tourné vers le haut, elle a une pièce de monnaie dans la bouche..Sharko, le lieutenant Sibersky aidés de la psycho-criminologue Elisabeth Williams et tous les services de police vont s'orienter vers les sites qui pratiquent les sévices sado-maso, qui filment les tortures, l'agonie de leurs victimes pour les diffuser de façon très rentable sur le net ! D'autant qu'il trouve Gad Rostange tuée suivant la même procédure et, Sharko s'inquiète de plus en plus sur le sort de son épouse Simone qui a disparu depuis 6 mois. Même sa voisine : Doudou Camélia : une guyanaise de 73 ans qui lui a prédit sa rencontre avec le Démon, le Mal est aussi exécutée ! Au fur et à mesure de sa plongée dans le monde des ténèbres, Sharko comprend que le tueur le provoque, le manipule et veut le faire souffrir et l'abattre !
Arrivera t'il à sauver Simone ? à confondre ce "taré " supérieurement intelligent qui est en fait un proche qui se sert de lui par provocation, par jeu ?
Un polar musclé, violent de 436 pages qui ne livre le dénouement qu'en fin du livre !
Mais, ce premier polar ( à mon avis et compte tenu de ma connaissance d'une grande partie du travail de Thilliez ) est trop surchargé en détails sur les procédures judiciaires, anatomiques et, les phrases sont lourdes, le style est trop dense mais ce premier jet : nous permet de connaitre la genèse de son " héros " et les turpides qui vont le hanter au cours des prochaines enquêtes !
L.C thématique d'août 2022 : la couleur dans le titre.
Le commissaire Sharko : un homme du Nord de 40 ans, un fils de mineur qui va se lancer dans une enquête " hors norme " avec acharnement, passion de son métier !
En effet, Martine Prieur ( 35 ans ) vient d'être retrouvée décapitée, suspendue à 8 crochets tenus eux même par des cordes : elle a été bâillonnée, torturée, elle est en morceaux, avec les globes oculaires extraits puis remis en place avec le regard tourné vers le haut, elle a une pièce de monnaie dans la bouche..Sharko, le lieutenant Sibersky aidés de la psycho-criminologue Elisabeth Williams et tous les services de police vont s'orienter vers les sites qui pratiquent les sévices sado-maso, qui filment les tortures, l'agonie de leurs victimes pour les diffuser de façon très rentable sur le net ! D'autant qu'il trouve Gad Rostange tuée suivant la même procédure et, Sharko s'inquiète de plus en plus sur le sort de son épouse Simone qui a disparu depuis 6 mois. Même sa voisine : Doudou Camélia : une guyanaise de 73 ans qui lui a prédit sa rencontre avec le Démon, le Mal est aussi exécutée ! Au fur et à mesure de sa plongée dans le monde des ténèbres, Sharko comprend que le tueur le provoque, le manipule et veut le faire souffrir et l'abattre !
Arrivera t'il à sauver Simone ? à confondre ce "taré " supérieurement intelligent qui est en fait un proche qui se sert de lui par provocation, par jeu ?
Un polar musclé, violent de 436 pages qui ne livre le dénouement qu'en fin du livre !
Mais, ce premier polar ( à mon avis et compte tenu de ma connaissance d'une grande partie du travail de Thilliez ) est trop surchargé en détails sur les procédures judiciaires, anatomiques et, les phrases sont lourdes, le style est trop dense mais ce premier jet : nous permet de connaitre la genèse de son " héros " et les turpides qui vont le hanter au cours des prochaines enquêtes !
L.C thématique d'août 2022 : la couleur dans le titre.
