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Critique de Alfaric


Ce tome 11 est si excellent qu'on ne sent aucunement le rythme de parution censément hebdomadaire… Nous assistons à une course contre la montre entre les parrains de la mafia qui ont mis à prix la tête des membres de la Brigade Fantôme et les membres de la Brigade Fantômes qui ont juré la perte des parrains de la mafia… Et au nom du Clan Nostrad Kurapika intègre une équipe spéciale d'assassins comprenant quelques addicts au meurtre et Zéno et Silva de la famille Zoldik !
Kuroro Lucifuru le voleur de nen enlève Neon Nostrad et lui ravit sa capacité à prédire l'avenir avant de lâcher ses subordonnés sur les sbires de la mafia : c'est un carnage sans nom, censément être un requiem pour leur défunt compagnon Uvôguine (on est dans un shonen, mais attention quand même entre autres choses à la scène ou un assassin se fait dévorer vivant par des poissons anthropophages !). Mais il doit ensuite affronter Zéno et Silva Zoldik dont il convoite les capacités : c'est un Choc des Titans digne des meilleurs moments de "Dragon Ball" !!!
Au terme d'une véritable bataille urbaine, la Brigade Fantôme est déclarée morte et en perdant sa raison de vivre Kurapika sombre dans le désespoir… le mangaka se lance dans du foreshadowing en expliquant que l'Araignée vient de l'Etoile Filante, la plus grande décharge du monde inspirée IRL d'un quartier de Hong Kong qui terrorise autant la police que la mafia mais dont je tairai le nom pour ne pas avoir d'ennuis… (d'ailleurs le mangaka fait une connexion entre les Zoldik et l'Etoile Filante, et au bout de 33 tomes on attend toujours les réponses aux questions qu'il a posées !)
PS : et puis Karuto Zoldik est qualifié/qualifiée de fille par le traducteur chevronné Thibaud Desbief, alors que dans XX tomes l'auteur va nous expliquer qu'en fait c'est un garçon… Tu fais chier Yoshihiro Togashi avec tes ambiguïtés à la con !
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