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Critique de DianaAuzou
Petit livre illustré par Pauline Baynes de dessins à la ligne pure et aux visages cocasses.
L'histoire est légère et très amusante, pimentée par-ci par-là de quelques fléchettes saupoudrées d'un tantinet de poison, tout à fait inoffensif, adressées à un roi qui aimait le pouvoir, comme par hasard, ou à un simple d'esprit qui ne comprenait jamais rien, ou bien à une communauté toute entière qui célébrait un héro avant qu'il n'eût rien fait. le héros c'est le fermier Gilles et son histoire remonte à des temps très lointains, où les gens étaient bien moins nombreux, et avaient beaucoup plus de temps pour travailler et s'amuser.
Il y avait des géants aussi, très bêtes, et un dragon, indispensable, qui se la coulait douce avec l'or volé à la communauté et surtout, ce qui pourrait paraître surprenant, les animaux parlaient la langue des humains, ou c'était peut-être l'inverse ?
Tous les ingrédients font penser au grands romans de Tolkien le Hobbit et le Seigneur des Anneaux sauf que là le ton du narrateur est plutôt plaisant et plus que rassurant, ayant enfilé le vêtement omniscient. Les dialogues, simples et directs exigent une certaine tenue du langage et du comportement, et surtout une certaine malice car, plus qu'une chanson de geste, le fermier Gilles de Ham est une histoire où une bonne négociation peut assurer une double victoire : récupérer l'or volé par le dragon et surtout surtout ne rien donner au roi qui exigeait tout.
L'histoire est légère et très amusante, pimentée par-ci par-là de quelques fléchettes saupoudrées d'un tantinet de poison, tout à fait inoffensif, adressées à un roi qui aimait le pouvoir, comme par hasard, ou à un simple d'esprit qui ne comprenait jamais rien, ou bien à une communauté toute entière qui célébrait un héro avant qu'il n'eût rien fait. le héros c'est le fermier Gilles et son histoire remonte à des temps très lointains, où les gens étaient bien moins nombreux, et avaient beaucoup plus de temps pour travailler et s'amuser.
Il y avait des géants aussi, très bêtes, et un dragon, indispensable, qui se la coulait douce avec l'or volé à la communauté et surtout, ce qui pourrait paraître surprenant, les animaux parlaient la langue des humains, ou c'était peut-être l'inverse ?
Tous les ingrédients font penser au grands romans de Tolkien le Hobbit et le Seigneur des Anneaux sauf que là le ton du narrateur est plutôt plaisant et plus que rassurant, ayant enfilé le vêtement omniscient. Les dialogues, simples et directs exigent une certaine tenue du langage et du comportement, et surtout une certaine malice car, plus qu'une chanson de geste, le fermier Gilles de Ham est une histoire où une bonne négociation peut assurer une double victoire : récupérer l'or volé par le dragon et surtout surtout ne rien donner au roi qui exigeait tout.
