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Critique de JeromeJeanJacques
Je suis imperméable au romantisme de Tolstoï ! Lapidez-moi !
De l'avis même du préfacier, « Résurrection » n'est pas son roman le plus abouti. Il a fait beaucoup mieux, dans le genre sondeur de l'âme humaine.
Ici, nous avons affaire à un nouveau drame déchirant — une pauvresse mêlée, malgré elle, à une affaire de meurtre, et condamnée injustement au bagne. À partir de là, une histoire d'amour va se tisser avec un des jurés qui l'a condamnée. Je dois dire que la sauce dramaturgique n'a pas pris avec moi.
Je mets en cause le manque de dynamisme du livre. En effet, à chaque passage on nous assomme de descriptions barbantes qui n'apportent que peu de valeur ajoutée au reste de l'histoire ; des platitudes qui n'ont de but que d'allonger le récit.
En ce sens, « Résurrection » me donne la perception que Tolstoï est, en quelques sortes, le Balzac Russe (avec la renommée mondiale de Victor Hugo).
De l'avis même du préfacier, « Résurrection » n'est pas son roman le plus abouti. Il a fait beaucoup mieux, dans le genre sondeur de l'âme humaine.
Ici, nous avons affaire à un nouveau drame déchirant — une pauvresse mêlée, malgré elle, à une affaire de meurtre, et condamnée injustement au bagne. À partir de là, une histoire d'amour va se tisser avec un des jurés qui l'a condamnée. Je dois dire que la sauce dramaturgique n'a pas pris avec moi.
Je mets en cause le manque de dynamisme du livre. En effet, à chaque passage on nous assomme de descriptions barbantes qui n'apportent que peu de valeur ajoutée au reste de l'histoire ; des platitudes qui n'ont de but que d'allonger le récit.
En ce sens, « Résurrection » me donne la perception que Tolstoï est, en quelques sortes, le Balzac Russe (avec la renommée mondiale de Victor Hugo).
