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Critique de maylibel
Une jeune femme qui s'est jetée par la fenêtre lors d'un incendie. Un SDF victime d'une agression. Une prof d'histoire-géographie victime de harcèlement qui a fini par gifler l'un de ses élèves. Millie, Mike et Mariette sont tous les trois hospitalisés quand ils rencontrent Jean, directeur de l'Atelier. Il propose à ces êtres en difficulté de les aider à se reconstruire.
Le titre et le résumé de ce roman semblent indiquer un ouvrage à la lecture légère, mais on se rend compte dès la première page que ce n'est pas le cas : ce sont les trois personnages principaux, des humains en souffrance, qui prennent la parole à tour de rôle. Et si l'auteure évite le pathos, elle n'hésite pas à charger lourdement la barque de chacun d'eux, ce qui finit paradoxalement par provoquer plus d'agacement que d'empathie chez le lecteur. Tout n'est pas rose ni gris chez aucun des personnages de l'histoire, mais Valérie Tong Cuong abuse un peu trop des facilités pour convaincre.
Un roman gâché par l'omniprésence des bonnes intentions et des recettes employées par l'auteure, que ce soit au niveau de la construction ou du style.
Le titre et le résumé de ce roman semblent indiquer un ouvrage à la lecture légère, mais on se rend compte dès la première page que ce n'est pas le cas : ce sont les trois personnages principaux, des humains en souffrance, qui prennent la parole à tour de rôle. Et si l'auteure évite le pathos, elle n'hésite pas à charger lourdement la barque de chacun d'eux, ce qui finit paradoxalement par provoquer plus d'agacement que d'empathie chez le lecteur. Tout n'est pas rose ni gris chez aucun des personnages de l'histoire, mais Valérie Tong Cuong abuse un peu trop des facilités pour convaincre.
Un roman gâché par l'omniprésence des bonnes intentions et des recettes employées par l'auteure, que ce soit au niveau de la construction ou du style.
