C'est avec émotion que j'ai retrouvé Hakim et
Fabien Toulmé.
J'apprécie que l'auteur se mette en scène et explique sa démarche et ses propres questionnements.
Ce tome est plus dur que le premier car Hakim et sa famille sont de plus en plus confronté au racisme ambiant.
C'est toujours aussi édifiant : Hakim devient un "réfugié", un "migrant", parce que malgré tout ses efforts il lui est impossible de rentrer chez lui ou de construire une vie stable dans un pays limitrophe au sien.
Le business de la misère est bien représenté et est parfaitement écoeurant.
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