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Critique de cedratier
« Sept contes », Michel Tournier (folio junior, 120p)
L'auteur s'amuse avec des contes ou des récits légendaires, les détourne pour une lecture moins enfantine qu'il n'y parait, parfois teintés d'une délicate sensualité. On s'amuse avec le petit poucet qui s'égare chez un ogre pas si méchant et ses sept fillettes assez coquines, on devine que Pierrot, Colombine et Arlequin finissent en ménage à trois. Mais j'ai surtout apprécié la triste fin de Robinson Crusoé, une vingtaine d'années après son retour à la civilisation, son côté philosophique très moderne, et ses regrets d'ile déserte ; ainsi que le conte sur la mère Noel.
A lire aussi pour sa belle écriture, et quand même par tous les âges, pour un joli moment de rêverie.
L'auteur s'amuse avec des contes ou des récits légendaires, les détourne pour une lecture moins enfantine qu'il n'y parait, parfois teintés d'une délicate sensualité. On s'amuse avec le petit poucet qui s'égare chez un ogre pas si méchant et ses sept fillettes assez coquines, on devine que Pierrot, Colombine et Arlequin finissent en ménage à trois. Mais j'ai surtout apprécié la triste fin de Robinson Crusoé, une vingtaine d'années après son retour à la civilisation, son côté philosophique très moderne, et ses regrets d'ile déserte ; ainsi que le conte sur la mère Noel.
A lire aussi pour sa belle écriture, et quand même par tous les âges, pour un joli moment de rêverie.
