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Citations sur Les années du silence, tome 4 : La Destinée (13)

Perdre ton temps? Je ne trouve pas, moi. Si tu sais ce que tu ne veux pas, c'est déjà un moyen bout de chemin de fait. Toi, tu l'as fait dans la rue. Il y en a d'autres qui le font à l'école en changeant d'orientation à chaque année et d'autres directement sur le marché du travail en changeant de job à répétition. C'est pas ça l'important.
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(...) l'Alzheimer, c'est comme mourir avant le temps. C'est quitter ceux qu'on aime avant la date prévue.
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-- Vois-tu, vieillir, ce n'est pas seulement des rides au visage. dit-elle enfin, les yeux toujours fermés. Si ce n'était que ça... Mais parfois, c'est comme si on perdait le contrôle d'une partie de sa volonté.
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Le pouvoir de la nature est plus fort que tout ce qu'on pourrait imaginer...
Quand j'étais amnésique, c'est comme si une deuxième personnalité avait pris la relève. Probablement que j'en avais besoin et mon corps, lui, le savait.
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Il arrive des moments, ou plutôt des événements, où on a l'impression de n'avoir aucun contrôle. Je... je trouve cela inconfortable. On a beau avoir la meilleure volonté du monde, rien ne va comme on le voudrait.
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J'estime que, à 70 ans, je suis une femme heureuse, comblée. En fin de compte, aujourd'hui, quand je regarde par-dessus mon épaule, je m'aperçois qu'il y a plus de bonheur que d'amertume derrière moi. C'est ce que je te souhaite, François. Avoir assez confiance en la vie et en toi pour atteindre tes buts. C'est le plus beau cadeau que je puisse t'offrir ce matin.
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Echevelée, les joues rougies par le soleil, le bonheur et la chaleur, Marie-Hélène arrive en courant. En fait, cette jeune femme ne sait probablement pas marcher. Elle avance dans la vie en sautillant comme une gamine, l'esprit vif-argent, toujours joyeuse, prête semble-t-il à s'élancer à tout moment vers quelque découverte, quelque coin inexploré du monde juste pour le plaisir de bouger et de savoir qu'elle peut aider. Elle connaît François depuis l'adolescence et l'amour entre eux a été décisif dès l'instant où leurs regards se sont croisés. Cécile lui rend son sourire. Marie-Hélène est si jolie aujourd'hui, sous son voile de tulle blanc, dans sa robe vaporeuse comme une brume.
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François est seul au monde. Il n'y a plus ni famille, ni amis, ni espoir, ni vie possible comme les autres voudraient que ce soit. Il est le seul à savoir, à connaître la souffrance qui le détruit. Alors il rêve de cette poudre blanche qui permettrait le sommeil parce qu'il est épuisé et qu'il a mal aux tripes comme il ne pensait pas qu'on puisse avoir mal. La moindre fibre de son corps hurle de douleur, réclame son dû. Agression d'une dépendance qu'il refuse de reconnaître parce qu'il s'est convaincu, complaisance du besoin, que ce n'est pas la drogue qui choisit François, mais plutôt lui qui décide pour lui-même. Il n'y a que les autres pour ne pas le comprendre.
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Voguer dans un paradis de faux-fuyant où n'existent ni douleur ni souvenirs. Que le néant, l'apesanteur, le flottement en eaux troubles mais tièdes, confortables. Oublier qu'on a souffert à cause d'un ami après avoir ri et rêvé avec lui; oublier qu'on a mal à l'âme et au corps sans plus vraiment savoir d'où vient la douleur tellement elle est grande et se soude à l'être tout entier; oublier que l'apaisement de cette souffrance se doit de passer inexorablement par sa raison d'être tant qu'on n'a pas trouvé en soi la force d'y résister.
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Bien sûr il s’agit d'un roman avec tout ce que cela suppose d’idéalisme et de facilité. Si la vie pouvait parfois ressembler aux romans!
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