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Critique de umezzu
Dans ce deuxième tome, le juge Duquesne et la DGSI, le service avec lequel il travaille, se font manipuler par des terroristes djihadistes. Face aux actions meurtrières de l'organisation qu'il combat, le juge décide de prendre des risques. Malheureusement ces paris ne s'avèrent pas payants. Il est dessaisi et la DNAT (l'anti-terrorisme) reprend l'enquête. Les services s'engagent dans une course de vitesse malsaine pour retrouver le chef du groupe terroriste.
Ce triptyque dédié à la lutte-antiterroriste est fortement marqué par l'expérience professionnelle du juge Marc Trevidic, co-auteur du scénario. Tout ressemble à une enquête réelle, impression amplifiée par les dessins au cordeau de Giuseppe Liotti. Ce deuxième tome prend à la gorge : entre les beaux discours sur l'efficacité des services anti-terroristes et la réalité qui patine parfois, cela inquiète fortement.
Les considérations sur la responsabilité du juge face à ses décisions qui peuvent avoir de lourdes conséquences collectives constituent la partie la plus intéressante de cette BD.
Ce triptyque dédié à la lutte-antiterroriste est fortement marqué par l'expérience professionnelle du juge Marc Trevidic, co-auteur du scénario. Tout ressemble à une enquête réelle, impression amplifiée par les dessins au cordeau de Giuseppe Liotti. Ce deuxième tome prend à la gorge : entre les beaux discours sur l'efficacité des services anti-terroristes et la réalité qui patine parfois, cela inquiète fortement.
Les considérations sur la responsabilité du juge face à ses décisions qui peuvent avoir de lourdes conséquences collectives constituent la partie la plus intéressante de cette BD.
