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Critique de Broyeuse
Bien que la préface nous avertisse des libertés prises par Twain, j'ai été touchée de voir cet auteur américain s'intéresser à notre Histoire.
Sous forme d'une biographie romancée, il nous conte la vie de cette emblématique figure féminine et chevaleresque qu'est Jeanne d'Arc. D'ailleurs, le narrateur est l'un de ses amis d'enfance et voue à cette jeune femme un véritable culte. Déterminée, intelligente, courageuse, pure et belle, on ne saurait trouver ses défauts.
Dans ce récit, Jeanne prend non seulement le rôle de sainte mais aussi de commandant. Loin d'être historienne, j'avoue avoir été étonnée par ces scènes où elle planifie des stratégies avec le conseil militaire. Pour moi, Jeanne d'Arc est avant tout une figure qui a su raviver l'espoir des Français durant la guerre de Cent Ans ; elle est en quelque sorte une mascotte.
Comme dans "Le Prince et le Pauvre", l'auteur aime jouer avec les situations comiques. Il crée des personnages si imbus d'eux-mêmes qu'ils tournent au ridicule. Malheureusement, comme dans son précédent livre, cette recette ne fonctionne pas sur moi. J'ai détesté ces chapitres et n'avais qu'une hâte : retrouver notre héroïne.
Malgré tout, cette biographie romancée est plutôt intéressante, bien que très axée sur le côté divin de Jeanne. J'ai particulièrement apprécié les dialogues soignés qui nous plongent à l'époque des chevaliers.
Sous forme d'une biographie romancée, il nous conte la vie de cette emblématique figure féminine et chevaleresque qu'est Jeanne d'Arc. D'ailleurs, le narrateur est l'un de ses amis d'enfance et voue à cette jeune femme un véritable culte. Déterminée, intelligente, courageuse, pure et belle, on ne saurait trouver ses défauts.
Dans ce récit, Jeanne prend non seulement le rôle de sainte mais aussi de commandant. Loin d'être historienne, j'avoue avoir été étonnée par ces scènes où elle planifie des stratégies avec le conseil militaire. Pour moi, Jeanne d'Arc est avant tout une figure qui a su raviver l'espoir des Français durant la guerre de Cent Ans ; elle est en quelque sorte une mascotte.
Comme dans "Le Prince et le Pauvre", l'auteur aime jouer avec les situations comiques. Il crée des personnages si imbus d'eux-mêmes qu'ils tournent au ridicule. Malheureusement, comme dans son précédent livre, cette recette ne fonctionne pas sur moi. J'ai détesté ces chapitres et n'avais qu'une hâte : retrouver notre héroïne.
Malgré tout, cette biographie romancée est plutôt intéressante, bien que très axée sur le côté divin de Jeanne. J'ai particulièrement apprécié les dialogues soignés qui nous plongent à l'époque des chevaliers.
