Définitivement, Astérix est mort d'une crise cardiaque le 5 novembre 1977.
Uderzo sans Goscinny, c'est comme une marionnette sans marionnettiste. Il n'y a pas qu'Astérix d'ailleurs. Lucky Luke aussi est mort ce jour-là, Iznogoud pareillement. Encore faut-il remercier
Sempé d'avoir eu le bon goût de ne pas chercher à faire survivre son Petit Nicolas au décès du géant, du génialissime
René Goscinny.
Vous aurez donc dans cet album post-mortem et dans les suivants des ersatz de Gaulois irréductibles en carton-pâte, sans verve ni âme. L'humour est à chercher attentivement et il était tellement subtil et tellement volatil qu'il s'est envolé et que personne ne l'a jamais retrouvé.
Vous pouvez donc sans peur laisser tomber tous les Astérix parus à partir de ce sinistre tome 25. Il était dit qu'il n'y en aurait que 24, comme les heures dans une journée. Ce n'est pas un si mauvais nombre, finalement...
Ce n'est bien sûr que mon avis, c'est-à-dire, pas grand-chose.
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