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Critique de Yendare
Il n'y a aucune critique pour le tome 6 de cette petite saga de manga pourtant sympathique. Je trouve cela dommage donc je prends le temps d'écrire quelques lignes sur celui-ci.
J'ai lu les 5 premiers tomes de cette saga durant le premier confinement en 2020, j'avais vraiment bien adhéré mais je ne sais pas pourquoi je n'avais jusqu'à récemment pas encore emprunté la suite en médiathèque. J'ai retrouvé dans ce tome ce que j'avais aimé dans les premiers tomes, il se dégage un vrai charme, une ambiance dans cette saga de manga que je n'ai jamais lue ailleurs.
Comme dans les tomes précédents nous suivons Ginko dans 5 petites histoires indépendantes les unes des autres. Dans chacune d'elles il viendra en aide aux personnes contaminées par des mushis, ces petits organismes démoniaque invisible pour la grande majorité des hommes et plus ou moins nocifs pour ces derniers s'ils se font malencontreusement posséder.
Ginko est spécialiste des mushis, il les voit, les étudie, met en garde et aide les personnes à guérir quand cela est possible. L'auteure fait vraiment preuve d'une belle imagination dans la diversité des mushis et des effets que ceux-ci ont sur les hommes. Ce sont des histoires calmes non dénuées de poésie au dénouement parfois heureux, parfois plus triste voire tragique.
J'ai dans ce tome particulièrement apprécié les histoires intitulées “le chant des coquillages” et “le banquet au bout des chants”. Dans la première une espèce de mushi qui volent normalement au-dessus de la mer, se réfugie dans des coquillages sur la plage quand ils sentent venir un désastre. Ils émettent alors des petits cris continuels afin de prévenir leur congénère de venir sur la terre ferme le temps que le désastre passe sauvant ainsi leur congénère. Leurs cris a cependant pour conséquence pour les hommes qui les entendent de trop près d'oublier comment faire entendre leur voix…
Ce tome s'est ainsi avéré comme les précédents très agréables à lire et je vais les lire les 4 derniers tomes de cette saga sans trop tarder.
J'ai lu les 5 premiers tomes de cette saga durant le premier confinement en 2020, j'avais vraiment bien adhéré mais je ne sais pas pourquoi je n'avais jusqu'à récemment pas encore emprunté la suite en médiathèque. J'ai retrouvé dans ce tome ce que j'avais aimé dans les premiers tomes, il se dégage un vrai charme, une ambiance dans cette saga de manga que je n'ai jamais lue ailleurs.
Comme dans les tomes précédents nous suivons Ginko dans 5 petites histoires indépendantes les unes des autres. Dans chacune d'elles il viendra en aide aux personnes contaminées par des mushis, ces petits organismes démoniaque invisible pour la grande majorité des hommes et plus ou moins nocifs pour ces derniers s'ils se font malencontreusement posséder.
Ginko est spécialiste des mushis, il les voit, les étudie, met en garde et aide les personnes à guérir quand cela est possible. L'auteure fait vraiment preuve d'une belle imagination dans la diversité des mushis et des effets que ceux-ci ont sur les hommes. Ce sont des histoires calmes non dénuées de poésie au dénouement parfois heureux, parfois plus triste voire tragique.
J'ai dans ce tome particulièrement apprécié les histoires intitulées “le chant des coquillages” et “le banquet au bout des chants”. Dans la première une espèce de mushi qui volent normalement au-dessus de la mer, se réfugie dans des coquillages sur la plage quand ils sentent venir un désastre. Ils émettent alors des petits cris continuels afin de prévenir leur congénère de venir sur la terre ferme le temps que le désastre passe sauvant ainsi leur congénère. Leurs cris a cependant pour conséquence pour les hommes qui les entendent de trop près d'oublier comment faire entendre leur voix…
Ce tome s'est ainsi avéré comme les précédents très agréables à lire et je vais les lire les 4 derniers tomes de cette saga sans trop tarder.
