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Critique de LoupAlunettes
: " le Roi des oiseaux" est inspiré d'un conte russe.
L'aventure est ménagée en chapitre et chaque chapitre ménagera un suspens (un peu différemment d'un" cliffhanger" comme l'on dit pour traduire une fin ouverte nous laissant en suspens comme dans un feuilleton, puisqu'ici à chaque fois l'action en cours sera terminée).
Il y a plusieurs étapes à l'histoire: ce qui a déclenché la guerre entre le roi des animaux terrestres et celui des oiseaux (cela partira de peu de chose, d'un orgueil mal placé), ensuite la guérison, le roi des oiseaux soigné pendant trois ans par un chasseur, puis enfin, la récompense faite du roi au chasseur ( la surprise sera t-elle à la hauteur pour le modeste chasseur qui a épargné l'oiseau et la nourrit grassement pendant trois ans).
Petit à petit, les différents petits services voués aux animaux doués de parole ressemblera à une grande quête bien plus fabuleuse.
Nous serons dans la répétition d'événements mais les situations n'auront pas toujours à voir les unes avec les autres, le coffre d'or, la rencontre avec le roi des eaux et la promesse du marchand de lui céder " la première chose qu'il ne saisira pas sous son propre toît".
Le chasseur-marchand cotoiera le monde des dieux. Car c'est ce qu'est ce roi des oiseaux.
Et bien que le marchand soit bien plus entier et simple de nature, il découvrira un monde magique plus fourbe et plein de desseins cachés.
Le marchand-chasseur arrivera à point pour réaliser à la place de chaque entité ce qu'elle ne s'autorisera pas ouvertement sur un bon traité de paix.
Le pauvre ne sera qu'un instrument entre les mains expertes et l'esprit faussement diplomatique divin.
Comment cela va t-il se terminer?
Le marchand n'y laissera t-il pas lui même des plumes dans cette guerre d'animaux?
Le roi des oiseaux.
L'adaptation en Bande-dessinée ne perdra pas l'avantage du rythme déja apporté par le genre du conte. L'auteur-illustrateur Alexander Utkin profitera d'un charme déja donné, on le sens très bien à la lecture et y accrochera ses images. C'est vraiment une riche idée.
Le résultat est réjouissant visuellement et dans la narration.
Le récit est captivant.
L'aventure est ménagée en chapitre et chaque chapitre ménagera un suspens (un peu différemment d'un" cliffhanger" comme l'on dit pour traduire une fin ouverte nous laissant en suspens comme dans un feuilleton, puisqu'ici à chaque fois l'action en cours sera terminée).
Il y a plusieurs étapes à l'histoire: ce qui a déclenché la guerre entre le roi des animaux terrestres et celui des oiseaux (cela partira de peu de chose, d'un orgueil mal placé), ensuite la guérison, le roi des oiseaux soigné pendant trois ans par un chasseur, puis enfin, la récompense faite du roi au chasseur ( la surprise sera t-elle à la hauteur pour le modeste chasseur qui a épargné l'oiseau et la nourrit grassement pendant trois ans).
Petit à petit, les différents petits services voués aux animaux doués de parole ressemblera à une grande quête bien plus fabuleuse.
Nous serons dans la répétition d'événements mais les situations n'auront pas toujours à voir les unes avec les autres, le coffre d'or, la rencontre avec le roi des eaux et la promesse du marchand de lui céder " la première chose qu'il ne saisira pas sous son propre toît".
Le chasseur-marchand cotoiera le monde des dieux. Car c'est ce qu'est ce roi des oiseaux.
Et bien que le marchand soit bien plus entier et simple de nature, il découvrira un monde magique plus fourbe et plein de desseins cachés.
Le marchand-chasseur arrivera à point pour réaliser à la place de chaque entité ce qu'elle ne s'autorisera pas ouvertement sur un bon traité de paix.
Le pauvre ne sera qu'un instrument entre les mains expertes et l'esprit faussement diplomatique divin.
Comment cela va t-il se terminer?
Le marchand n'y laissera t-il pas lui même des plumes dans cette guerre d'animaux?
Le roi des oiseaux.
L'adaptation en Bande-dessinée ne perdra pas l'avantage du rythme déja apporté par le genre du conte. L'auteur-illustrateur Alexander Utkin profitera d'un charme déja donné, on le sens très bien à la lecture et y accrochera ses images. C'est vraiment une riche idée.
Le résultat est réjouissant visuellement et dans la narration.
Le récit est captivant.
