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Critique de Ashallayne
Je suis déçue par cette lecture, qui m'a ennuyée tout du long.
On suit Kayla, une jeune femme de dix-huit ans qui vient de se faire virer de chez elle. Pourquoi me direz-vous ? Eh bien parce que son grand-père estime que ça vaut mieux pour sa propre sécurité, elle, la morphe incapable de se transformer en louve, contrairement à tous les autres membres de la meute, que son grand-père dirige en tant qu'alpha.
Kayla fuit donc, et atterrit à Nancy, où elle trouve très (trop ?) rapidement refuge chez une meute ennemie. Là, elle rencontrera des beaux gosses à la pelle, dont l'aptitude essentielle consiste à être magnifiques.
Une micro intrigue tarde à pointer le bout de son nez, tant Kayla ne pense qu'à baver devant la gent masculine.
Bref, donc "l'intrigue" se résume à Kayla cherchant (vite fait) des réponses quant à ses origines (sa mère décédée peu après sa naissance) et à échapper à des méchants.
Je n'ai pas du tout aimé.
Tout d'abord les personnages sont d'une platitude exacerbante. Comme je l'ai mentionné plus haut, Kayla bave la plupart du temps devant les trois-quatre Apollon qui lui tournent autour, tandis que lesdits Apollon se contentent de la séduire ou de se moquer d'elle.
J'aurais aimé que leurs psychologies soient approfondies, leurs relations aussi, au lieu d'avoir une espèce de triangle/carré/pyramide/peu-importe-vous-avez-l'idée amoureux insipide.
En ce qui concerne la mythologie, j'aurais aussi préféré que l'auteur passe plus de temps à la développer.
L'histoire aurait gagné à ce que l'intrigue se dessine bien plus tôt. Pendant trois quart du bouquin, il ne se passe pas grand-chose. Et la découverte du pot-aux-roses n'a pas été une surprise, loin de là. L'autrice a eu recours à tous les codes du genre, l'Élue orpheline qui ne sait rien de son potentiel incommensurable, les méchants qui sont simplement méchants, et qui ont une couverture tellement lisse qu'elle en est immédiatement louche.
Une lecture particulièrement ennuyante, sans originalité. Je ne lirai pas la suite.
On suit Kayla, une jeune femme de dix-huit ans qui vient de se faire virer de chez elle. Pourquoi me direz-vous ? Eh bien parce que son grand-père estime que ça vaut mieux pour sa propre sécurité, elle, la morphe incapable de se transformer en louve, contrairement à tous les autres membres de la meute, que son grand-père dirige en tant qu'alpha.
Kayla fuit donc, et atterrit à Nancy, où elle trouve très (trop ?) rapidement refuge chez une meute ennemie. Là, elle rencontrera des beaux gosses à la pelle, dont l'aptitude essentielle consiste à être magnifiques.
Une micro intrigue tarde à pointer le bout de son nez, tant Kayla ne pense qu'à baver devant la gent masculine.
Bref, donc "l'intrigue" se résume à Kayla cherchant (vite fait) des réponses quant à ses origines (sa mère décédée peu après sa naissance) et à échapper à des méchants.
Je n'ai pas du tout aimé.
Tout d'abord les personnages sont d'une platitude exacerbante. Comme je l'ai mentionné plus haut, Kayla bave la plupart du temps devant les trois-quatre Apollon qui lui tournent autour, tandis que lesdits Apollon se contentent de la séduire ou de se moquer d'elle.
J'aurais aimé que leurs psychologies soient approfondies, leurs relations aussi, au lieu d'avoir une espèce de triangle/carré/pyramide/peu-importe-vous-avez-l'idée amoureux insipide.
En ce qui concerne la mythologie, j'aurais aussi préféré que l'auteur passe plus de temps à la développer.
L'histoire aurait gagné à ce que l'intrigue se dessine bien plus tôt. Pendant trois quart du bouquin, il ne se passe pas grand-chose. Et la découverte du pot-aux-roses n'a pas été une surprise, loin de là. L'autrice a eu recours à tous les codes du genre, l'Élue orpheline qui ne sait rien de son potentiel incommensurable, les méchants qui sont simplement méchants, et qui ont une couverture tellement lisse qu'elle en est immédiatement louche.
Une lecture particulièrement ennuyante, sans originalité. Je ne lirai pas la suite.
