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Critique de simeon
Ce livre est un must de niaiserie.
Impossible d'y croire une seconde, les personnages sont des clichés en puissance et l'histoire d'une indigence sans nom.
Le héros, violoncelliste célèbre, tombe amoureux d'une femme qui comme lui a perdu quelqu'un. Pour le violoncelliste il s'agit de la fille du boulanger de son village quand il avait 12 ans, pour elle son frère qui était monté à un arbre un hiver de son enfance et qui n'ayant pu redescendre y était mort congelé, ils l'avaient retrouvé quand la branche s'était cassée, quelques semaines plus tard.
L'une collectionne, attention c'est véridique: les glands, l'autre les pierres. En se rencontrant ils vont faire tomber leurs collections et donc se libèrent de leur passé, tout de suite ils se connaissent, se reconnaissent, ils se sont toujours connu, blah blah blah.
Je n'invente rien:
« -D'où venez-vous?
-Des montagnes du nord du pays de Galles - elle se mordit la lèvre. Vous avez entendu parler du pays de Galles?
- Oui.
-Bien, dit-elle. Je peux vous y emmener si vous avez des vêtements chauds et que vous appréciez les saucisses. » p78-79.
« Une fille nous dépassa à vélo. Son panier était rempli de citrons. Elle avait les cheveux tous frisés. Les terrasses de cafés étaient archipleines. » p88.
Comme vous pouvez en juger, on dirait du Proust, c'est fantastique, creux, cucul la praline, bêtifiant à souhait.
J'oubliais, la femme qu'il rencontre porte le même prénom que la fille du boulanger, incroyable, non?
Deux points positifs tout de même, il est facile à lire et il est court, un oui-oui pour adultes.
Impossible d'y croire une seconde, les personnages sont des clichés en puissance et l'histoire d'une indigence sans nom.
Le héros, violoncelliste célèbre, tombe amoureux d'une femme qui comme lui a perdu quelqu'un. Pour le violoncelliste il s'agit de la fille du boulanger de son village quand il avait 12 ans, pour elle son frère qui était monté à un arbre un hiver de son enfance et qui n'ayant pu redescendre y était mort congelé, ils l'avaient retrouvé quand la branche s'était cassée, quelques semaines plus tard.
L'une collectionne, attention c'est véridique: les glands, l'autre les pierres. En se rencontrant ils vont faire tomber leurs collections et donc se libèrent de leur passé, tout de suite ils se connaissent, se reconnaissent, ils se sont toujours connu, blah blah blah.
Je n'invente rien:
« -D'où venez-vous?
-Des montagnes du nord du pays de Galles - elle se mordit la lèvre. Vous avez entendu parler du pays de Galles?
- Oui.
-Bien, dit-elle. Je peux vous y emmener si vous avez des vêtements chauds et que vous appréciez les saucisses. » p78-79.
« Une fille nous dépassa à vélo. Son panier était rempli de citrons. Elle avait les cheveux tous frisés. Les terrasses de cafés étaient archipleines. » p88.
Comme vous pouvez en juger, on dirait du Proust, c'est fantastique, creux, cucul la praline, bêtifiant à souhait.
J'oubliais, la femme qu'il rencontre porte le même prénom que la fille du boulanger, incroyable, non?
Deux points positifs tout de même, il est facile à lire et il est court, un oui-oui pour adultes.
