Le terme roman graphique est particulièrement adapté ici. On oscille vraiment entre les deux genres.
Les codes de la BD sont bouleversés. Dès la première page. Au lieu d' avoir un dessin du personnage en pied, on a son visage et une description en texte de ses vêtements. Et ça continue comme ça tout le long avec des "mise en page" très intéressantes. Parfois que du dessin. Parfois de très long textes qui permettent de bien développer le scénario.
Scénario qui tient bien la route d'ailleurs. On retrouve le commissaire Adamsberg (personnage récurrent chez Vargas) qui mène l'enquête. Un meurtre. Des marques suspectes sur la cuisse du mort et un tueur en série qui rôde...
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