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Critique de pasiondelalectura
Un lieu incertain est le sixième opus avec le commissaire Adamsberg. Un téléfilm au titre éponyme a été dirigé par Josée Dayan (2010) avec Jean-Hughes Anglade dans le rôle du commissaire et Emmanuel Carrère comme scénariste.
Le lieu incertain du titre vient de la clairière en Serbie où avait été inhumé le premier vampire de ce roman.
Quel plaisir de retrouver Fred Vargas qui sait insuffler à chacun de ses personnages un profil qui le rend vraiment attachant; de plus l'humour dans ce tome est tellement présent que je crois avoir gardé le sourire pendant toute la lecture, malgré l'atrocité du cas policier.
L'aventure cette fois démarre à Londres où Adamsberg assiste à un colloque de 3 jours pour des super flics européens. Il se fera accompagner de l'encyclopédique Danglard et du jeune et timide Estalère. (Apparement Danglard fera « une touche » à Londres, mais il restera hyper discret la dessus). Et c'est à Londres qu'ils vont s'encombrer d'un fait macabre : la découverte dans le tristement célèbre cimetière de Highgate (affaires de vampires) de 17 jambes avec les 17 chaussures !
Une fois à Paris, le tableau sera encore plus macabre avec la survenue d'un crime atroce perpétré chez un richissime vieillard, père d'un fils unique qu'il aurait déshérité au dépens du jardinier !
L'enquête sera confiée à Adamsberg et à son équipe. Très bientôt des faits accablants vont accuser ce cher commissaire qui n'aura que quelques jours pour se blanchir. de fil en aiguille on va s'embarquer dans une affaire de vampires, un sujet plutôt original.
Il n'est pas question de vous raconter par le détail le foisonnement de faits divers qui vont pimenter cette enquête.
Et l'équipe d'Adamsberg… ah la la la quelle équipe. Chaque personnalité qui la constitue ajoute du sel à la trame. On ne s'ennuie pas avec les uns et les autres. J'ai trouvé que Danglard se surpasse dans cet opus.
Pour finir, je dirais que la trame de l'histoire, cette fois, m'a paru par moments un peu délirante, tirée par les cheveux. Par exemple quand ce pauvre Adamsberg est en train de rendre l'âme et qu'alors apparait, comme un deus ex machina, son collègue et camarade béarnais, Veyrenc. Là, franchement j'ai eu un fou rire monumental.
Mais peu importe, parce que ce roman vous emporte et vous amuse du début à la fin. Et les dialogues ! ce sont des pépites de dialogues.
Lien : https://pasiondelalectura.wo..
Le lieu incertain du titre vient de la clairière en Serbie où avait été inhumé le premier vampire de ce roman.
Quel plaisir de retrouver Fred Vargas qui sait insuffler à chacun de ses personnages un profil qui le rend vraiment attachant; de plus l'humour dans ce tome est tellement présent que je crois avoir gardé le sourire pendant toute la lecture, malgré l'atrocité du cas policier.
L'aventure cette fois démarre à Londres où Adamsberg assiste à un colloque de 3 jours pour des super flics européens. Il se fera accompagner de l'encyclopédique Danglard et du jeune et timide Estalère. (Apparement Danglard fera « une touche » à Londres, mais il restera hyper discret la dessus). Et c'est à Londres qu'ils vont s'encombrer d'un fait macabre : la découverte dans le tristement célèbre cimetière de Highgate (affaires de vampires) de 17 jambes avec les 17 chaussures !
Une fois à Paris, le tableau sera encore plus macabre avec la survenue d'un crime atroce perpétré chez un richissime vieillard, père d'un fils unique qu'il aurait déshérité au dépens du jardinier !
L'enquête sera confiée à Adamsberg et à son équipe. Très bientôt des faits accablants vont accuser ce cher commissaire qui n'aura que quelques jours pour se blanchir. de fil en aiguille on va s'embarquer dans une affaire de vampires, un sujet plutôt original.
Il n'est pas question de vous raconter par le détail le foisonnement de faits divers qui vont pimenter cette enquête.
Et l'équipe d'Adamsberg… ah la la la quelle équipe. Chaque personnalité qui la constitue ajoute du sel à la trame. On ne s'ennuie pas avec les uns et les autres. J'ai trouvé que Danglard se surpasse dans cet opus.
Pour finir, je dirais que la trame de l'histoire, cette fois, m'a paru par moments un peu délirante, tirée par les cheveux. Par exemple quand ce pauvre Adamsberg est en train de rendre l'âme et qu'alors apparait, comme un deus ex machina, son collègue et camarade béarnais, Veyrenc. Là, franchement j'ai eu un fou rire monumental.
Mais peu importe, parce que ce roman vous emporte et vous amuse du début à la fin. Et les dialogues ! ce sont des pépites de dialogues.
Lien : https://pasiondelalectura.wo..
