Avec le temps, je m'étais faite à l'idée que tout m'atteignait plus fortement que le commun des mortels. Ça faisait partie de moi, de ma personnalité, je pouvais rien y changer. Ou plutôt, je ne voulais rien y changer parce que je considérais que ce monde se porterait mieux s'il y avait plus d'hypersensibles comme moi.